La tomographie à émission de positons en oncologie ORL - 16/02/08
A. Courtois [1],
H. Foehrenbach [2],
Ph. Maszelin [2],
O. De Dreuille [2],
D. Garcia [2],
M. Kossowski [2],
P. Merlet [3],
J.-F. Gaillard [2],
J.-L. Poncet [2]
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Positron Emission Tomography in Head and Neck Oncology: Five Cases |
FDG-PET (18-fluoro-desoxyglucose positron emission tomography) is a fonctionnal imaging method based on the high rate of glycolysis in different types of cancer-cells. We report the first five cases where FDG-PET was used in France for head and neck cancers. The results were analyzed on the basis of data reported to date in the literature, leading to a proposal for rational use of this diagnostic available in only a few centers in France.
For primary assessment of cervicofacial carcinomas, different imaging techniques such as CT and MRI have improved tumor staging. Although 18-FDG-PET cannot replace these techniques used to monitor size and structural changes in tumors and lymph nodes, it will be helpful in following their metabolic activity. This diagnostic tool consequently is greatly helpful for detection and post-therapeutic evaluation of head and neck carcinomas and their recurrence.
18-FDG-PET is currently under evaluation as a tool for detecting cervical lymph nodes and early assessment of response to chemotherapy.
La tomographie à émission de positons en oncologie ORL : Une revue à propos de 5 cas |
La tomographie à émission de positons au 18 fluoro-desoxyglucose est une technique d'imagerie fonctionnelle de médecine nucléaire, basée sur la consommation accrue de glucose par les cellules cancéreuses.
Les auteurs présentent les cinq premiers examens réalisés en France, en carcinologie cervico-faciale.
A partir des données de la littérature, ils analysent leurs résultats en essayant de dégager une utilisation rationnelle de cet examen dont l'accès reste difficile.
Lors du bilan initial d'extension d'un carcinome cervico-facial, la TEP, même si elle présente une sensibilité et une spécificité meilleure que la tomodensitométrie (TDM) et l'imagerie par résonance magnétique (IRM), ne les supplante pas en raison de son défaut de résolution anatomique.
Le meilleur rendement de cet examen est l'évaluation post-thérapeutique des cancers des voies aérodigestives supérieures et/ou la recherche de récidives.
Son intérêt dans la recherche de la lésion primitive d'une adénopathie cervicale prévalante et dans l'évaluation précoce de la réponse à la chimiothérapie reste à évaluer.
Plan
© 2001 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés.
Vol 118 - N° 4
P. 254-260 - septembre 2001 Retour au numéro
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