Questions - 20/11/12
A | la douleur thoracique |
B | les marbrures |
C | une somnolence |
D | la cyanose |
E | un flapping tremor |
A | l’électrocardiogramme (ECG) est inutile |
B | une hypotension artérielle n’est pas un signe de gravité |
C | une expansion volémique est injustifiée parce que délétère |
D | les diurétiques sont inutiles |
E | l’échographie cardiaque est un examen invasif inutile |
A | la conscience est parfois normale |
B | l’électrocardiogramme n’est pas toujours en asystolie |
C | le pouls est bien perçu |
D | le massage cardiaque externe ne doit pas être débuté au plus vite |
E | grâce au massage cardiaque, le pronostic est très bon |
A | au cours du choc hypovolémique, le débit cardiaque est augmenté |
B | le choc cardiogénique se définit principalement par des résistances vasculaires diminuées |
C | au cours du choc septique, les résistances vasculaires sont diminuées |
D | au cours du choc cardiogénique, le débit cardiaque est augmenté |
E | au cours du choc septique, le débit cardiaque est toujours diminué |
A | les signes cliniques et paracliniques sont toujours les mêmes, d’un cas à l’autre |
B | si un état de choc est associé, le mécanisme en est généralement cardiogénique |
C | l’électrocardiogramme (ECG) affirme le diagnostic à chaque fois |
D | l’angioscanner spiralé n’est pas un très bon examen complémentaire |
E | l’échographie cardiaque n’est que de très faible intérêt |
A | la fibrinolyse est formellement indiquée dans tous les cas puisqu’elle lyse le thrombus |
B | l’embolectomie chirurgicale est très fréquemment mise en œuvre |
C | le traitement symptomatique associe oxygène, expansion volémique prudente et éventuel support vasopresseur |
D | le filtre cave améliore vite la situation |
E | il n’existe pas de contre-indications aux anticoagulants |
A | la radiographie standard n’est jamais normale |
B | le traitement repose sur oxygénation, bronchodilatateurs et corticoïdes |
C | il faut absolument allonger le malade bien à plat |
D | les antibiotiques doivent être prescrits systématiquement |
E | en cas de persistance de la crise, il ne faut surtout pas orienter le malade vers un secteur spécialisé de réanimation |
A | doit absolument être cachée au patient ou à sa famille |
B | n’est jamais liée à des dispositifs invasifs (intubation, cathéters, sondes urinaires…..) |
C | est en général définie comme une infection acquise plus de 48 heures après l’admission dans un service hospitalier |
D | ne peut être prévenue par l’utilisation les solutions hydro-alcooliques |
A | une hypoprotéinorachie |
B | une hyperglycorachie |
C | une hypercellularité lymphocytaire |
D | un liquide trouble |
E | aucun germe |
A | des signes de conscience peuvent persister |
B | l’électroencéphalogramme ne sert à rien |
C | le tronc cérébral peut continuer à fonctionner (réflexes du tronc cérébral présents) |
D | une respiration faible peut persister |
E | il est obligatoire de faire un examen complémentaire pour confirmation |
A | un électrocardiogramme est inutile |
B | la radiographie de thorax n’élimine pas facilement la dissection aortique |
C | maladie coronarienne, embolie pulmonaire et dissection aortique sont trois diagnostics rares |
D | le dosage de la troponine est inutile |
E | l’atteinte pleuro-pulmonaire peut être éliminée d’emblée |
A | les accidents ischémiques transitoires |
B | les thrombophlébites cérébrales avec troubles de la vigilance |
C | les accidents compliqués d’encombrement des voies aériennes |
D | les syndromes alternes avec fausses routes permanentes |
E | les accidents compliqués de coma profond susceptibles d’évoluer vers une mort cérébrale |
A | à domicile sous surveillance de la famille et d’une infirmière |
B | aux urgences |
C | en USIC en raison du risque de troubles du rythme cardiaque |
D | en réanimation |
E | en service de médecine |
A | il faut prioritairement calmer la personne avec un sédatif incisif |
B | il est inutile d’entrer en contact verbal avec l’intéressé |
C | la recherche d’une cause organique est primordiale pour orienter le traitement |
D | la recherche d’une intoxication aiguë se fera ultérieurement |
A | les transaminases sont élevées à au moins 10 fois la normale dès l’admission |
B | un ictère est fréquent dès le premier jour |
C | une encéphalopathie hépatique est constante |
D | on peut traiter les douleurs épigastriques par des anti-inflammatoires à condition qu’ils soient non stéroïdiens |
E | il faut administrer le plus tôt possible de la N-acétyl-cystéine |
A | les signes cliniques apparaissent environ 15 jours après l’intoxication initiale |
B | il existe un myosis symétrique et des diarrhées avec fièvre |
C | la survenue de troubles de la déglutition et de la ventilation sont à dépister précocement |
D | une désorientation temporo-spatiale précède les troubles visuels |
E | la toxine responsable de la maladie se retrouve dans les selles |
A | le pH est souvent supérieur à 7,42 |
B | le pH peut être inférieur à 7,00 et se normaliser rapidement |
C | la PaCO2 est inférieure à 15 mmHg |
D | la PaO2 est supérieure à 100 mmHg |
E | la lactatémie est normale |
A | la radiographie standard n’est jamais normale |
B | il n’est jamais dû à une embolie pulmonaire |
C | il peut traduire une insuffisance ventriculaire gauche |
D | il ne traduit jamais d’autre pathologie que respiratoire |
A | ne sont jamais mortelles |
B | peuvent être négligées chez la femme enceinte |
C | requièrent comme traitement unique l’arrêt de l’exposition au CO |
D | ne surviennent qu’au cours des incendies |
E | sont dues à un gaz inodore, incolore, et insipide |
A | elle ne se révèle jamais par une anurie |
B | elle s’accompagne toujours d’une douleur rétrosternale |
C | elle doit être évoquée devant un état de choc associé à des signes d’insuffisance cardiaque droite |
D | elle ne complique pas la dissection aortique |
A | abaissées |
B | élevées |
C | normales |
A | cardiogénique |
B | anaphylactique |
C | hémorragique |
D | hypovolémique |
A | une embolie pulmonaire massive |
B | un œdème aigu pulmonaire sur infarctus antérieur du myocarde |
C | un infarctus inférieur avec extension au ventricule droit |
D | une dissection aortique |
A | égal à 1 |
B | supérieur à 1 |
C | inférieur à 1 |
A | l’hyperkaliémie |
B | l’hypokaliémie |
C | une hypoglycémie |
D | une hypocalcémie |
A | tétanie |
B | scorbut |
C | hypoparathyroïdie |
D | rachitisme |
E | myélome multiple |
A | la lipolyse |
B | le transfert de potassium du milieu intracellulaire vers le milieu extracellulaire |
C | l’hypoglycémie |
D | l’absorption de la vitamine D |
A | hypokaliémie |
B | hypoglycémie |
C | alcalose métabolique |
D | hypernatrémie |
E | thrombopénie |
A | l’abolition des réflexes ostéotendineux |
B | la présence d’un signe de Babinski bilatéral |
C | l’absence de dissociation albumino-cytologique à la ponction lombaire |
D | des troubles de la déglutition |
E | une conscience normale |
A | barbituriques |
B | benzodiazépines |
C | antidépresseurs tricycliques |
D | opiacés |
A | d’une anisocorie |
B | d’une mydriase bilatérale aréactive |
C | d’une polypnée |
D | d’une bradypnée |
A | d’une acidose respiratoire |
B | d’une alcalose métabolique |
C | d’une acidose métabolique |
A | d’une alcalose métabolique |
B | d’une acidose métabolique |
C | d’une hyperchlorémie |
D | d’une hyperkaliémie |
A | d’un raccourcissement de l’intervalle QT |
B | d’ondes T amples, pointues et symétriques |
C | de l’apparition d’une onde U |
D | d’une onde J de Osborn |
E | d’une ombilication de l’onde T |
A | déshydratation |
B | diarrhées abondantes |
C | intoxication au paracétamol |
D | acidocétose |
E | vomissements |
A | Listeria monocytogenes |
B | Escherichia coli |
C | Staphylococcus aureus |
D | Streptococcus pneumoniae |
E | Haemophilus influenzae |
A | onde U |
B | arythmie complète par fibrillation auriculaire |
C | aplatissement de l’onde T |
D | élargissement du QRS |
E | torsade de pointe |
A | crise d’asthme non compliquée |
B | décompensation de BPCO |
C | pneumothorax |
D | œdème de Quincke |
E | œdème pulmonaire |
A | 1 |
B | 2 |
C | 3 |
D | 4 |
E | 5 |
A | une hyperdensité spontanée |
B | une hypodensité spontanée |
C | une lésion en cocarde après injection de produit de contraste |
A | un choc anaphylactique |
B | un choc septique |
C | une embolie pulmonaire |
D | une hémorragie aiguë |
A | la natrémie est un bon reflet du volume extracellulaire |
B | la correction d’une hyponatrémie chronique doit être progressive |
C | une hémoconcentration (hématocrite et protidémie élevés) témoigne d’une déshydratation intracellulaire |
D | une glycosurie est constamment observée au cours du diabète insipide |
A | le lavage gastrique et l’administration de charbon activé sont systématiques |
B | la principale toxicité du paracétamol est neurologique |
C | la N-acétyl cystéine est indiquée dans les intoxications au paracétamol |
D | le syndrome opiacé est caractérisé par une tachypnée, une tachycardie et une mydriase |
E | il n’existe pas de contre-indication à l’utilisation du flumazenil (Anexate® ) |
A | < 1 % |
B | 1 à 5 % |
C | 5 à 10 % |
D | 10 à 15 % |
E | 20 % |
A | l’artère hépatique assure l’essentiel du débit sanguin hépatique |
B | la veine porte assure la majeure partie du débit sanguin hépatique |
C | l’artère hépatique assure seule l’apport d’oxygène au niveau du foie |
D | les veines sus-hépatiques se drainent dans la veine porte au niveau des lobules hépatiques |
A | Plaq : 250 000/mm3; TCA : 35 s (TCAr : 1); TP : 90 %; V : 85 %; D-dimères < 500 μg/L |
B | Plaq : 250 000/mm3; TCA : 70 s (TCAr : 2); TP : 95 %; V : 90 %; D-dimères < 500 μg/L |
C | Plaq : 250 000/mm3; TCA : 35 s (TCAr : 1); TP : 25 %; V : 90 %; D-dimères < 500 μg/L |
D | Plaq : 200 000/mm3; TCA : 45 s (TCAr : 1,3); TP : 40 %; V : 30 %; D-dimères : 500 μg/L |
A | Plaq : 20 000/mm3; TCA > 150 s (TCAr > 5); TP < 10 %; V < 10 % |
B | Plaq : 250 000/mm3; TCA : 35 s (TCAr : 1); TP : 90 %; V : 85 % |
C | Plaq : 250 000/mm3; TCA : 70 s (TCAr : 2); TP : 95 %; V : 90 % |
D | Plaq : 250 000/mm3; TCA : 35 s (TCAr : 1); TP : 25 %; V : 90 % |
E | Plaq : 200 000/mm3; TCA : 45 s (TCAr : 1,3); TP : 40 %; V : 30 % |
A | Plaq : 20 000/mm3; TCA > 150 s (TCAr > 5); TP < ww10 %; V < 10 % |
B | Plaq : 250 000/mm3; TCA : 35 s (TCAr : 1); TP : 90 %; V : 85 % |
C | Plaq : 250 000/mm3; TCA : 70 s (TCAr : 2); TP : 95 %; V : 90 % |
D | Plaq : 250 000/mm3; TCA : 35 s (TCAr : 1); TP : 25 %; V : 90 % |
E | Plaq : 200 000/mm3; TCA : 45 s (TCAr : 1,3); TP : 40 %; V : 30 % |
A | Plaq : 20 000/mm3; TCA > 150 s (TCAr > 5); TP < 10 %; V < 10 %; D-dimères > 20 000 μg/L |
B | Plaq : 250 000/mm3; TCA : 35 s (TCAr : 1); TP : 90 %; V : 85 %; D-dimères < 500 μg/L |
C | Plaq : 250 000/mm3; TCA : 70 s (TCAr : 2); TP : 95 %; V : 90 %; D-dimères < 500 μg/L |
D | Plaq : 250 000/mm3; TCA : 35 s (TCAr : 1); TP : 25 %; V : 90 %; D-dimères < 500 μg/L |
E | Plaq : 200 000/mm3; TCA : 45 s (TCAr : 1,3); TP : 40 %; V : 30 %; D-dimères < 500 μg/L |
A | plaquettes : 200 000/mm3 |
B | diminution des LDH |
C | haptoglobine effondrée |
D | PaO2 : 45 mmHg |
E | élévation de la bilirubine conjuguée |
A | acidose métabolique |
B | alcalose respiratoire |
C | acidose respiratoire |
D | compensation respiratoire parfaite |
E | alcalose métabolique |
A | < 60 mmHg |
B | 80 mmHg |
C | 150 mmHg |
D | 300 mmHg |
E | > 400 mmHg |
A | un coma hypotonique aréflexique |
B | une mydriase unilatérale aréflexique |
C | une respiration de Cheyne-Stokes |
D | une asymétrie de tonus |
E | un allongement du QT sur l’ECG |
A | elle n’est jamais mortelle |
B | elle est responsable d’une acidose métabolique |
C | elle entraîne une diminution du trou anionique |
D | elle est aggravée par la prise d’éthanol simultanée |
A | elle ne complique jamais une appendicite |
B | elle s’accompagne rarement de douleurs abdominales |
C | c’est une urgence chirurgicale |
D | elle ne se complique jamais d’état de choc |
A | un scanner cérébral |
B | une recherche de toxiques dans le sang et les urines |
C | une numération formule sanguine |
D | une IRM cérébrale |
E | une ponction lombaire |
A | une rougeole |
B | une dengue |
C | une primo-infection à VIH |
D | un paludisme |
E | une amibiase |
A | une embolie pulmonaire |
B | une péricardite |
C | une dissection aortique |
D | un infarctus du myocarde |
E | une infection pulmonaire |
A | un dosage des D-dimères par méthode ELISA inférieur à 500 ng/mL élimine formellement le diagnostic |
B | la PaCO2 est classiquement augmentée |
C | l’examen clinique peut être strictement normal |
D | la thrombolyse est toujours indiquée |
E | l’échographie doppler veineux des membres inférieurs est utile dans les formes graves |
A | l’hypocapnie |
B | la normoxie |
C | la normocapnie |
D | l’hyperleucocytose |
E | l’existence de crépitants |
A | la ventilation mécanique invasive |
B | la ventilation mécanique non invasive |
C | les bêta-2-mimétiques |
D | l’oxygénothérapie à haut débit pour obtenir une SaO2 à 100 % |
E | les anticholinergiques |
A | des reins de taille normale |
B | une polyglobulie |
C | une anémie |
D | une infection urinaire |
E | une hématurie |
A | un uro-scanner |
B | une échographie rénale |
C | une ponction biopsie rénale |
D | une épuration extrarénale |
A | est toujours symptomatique |
B | est toujours réversible |
C | nécessite toujours la recherche d’un obstacle sur les voies excrétrices urinaires |
D | s’accompagne toujours d’une hypocalcémie |
E | justifie toujours le recours à l’épuration extrarénale |
A | le traitement est principalement chirurgical |
B | l’absence de lithiase vésiculaire à l’échographie élimine l’origine biliaire |
C | le scanner abdominal doit être réalisé quotidiennement |
D | les complications surviennent toujours dans la première semaine |
E | l’antibiothérapie n’est pas systématique |
A | une appendicite |
B | une salpingite |
C | une pyélonéphrite |
D | une maladie de Crohn |
E | une grossesse extra-utérine |
A | peut se manifester par une hypokaliémie |
B | peut se manifester par une hyperglycémie |
C | peut se manifester par une rétention hydrosodée |
D | peut se manifester par des douleurs abdominales |
E | aucune de ces propositions n’est vraie |
A | peut entraîner un coma |
B | peut entraîner une insuffisance rénale |
C | peut entraîner une hypoglycémie |
D | peut entraîner une hyperlactatémie |
E | toutes ces propositions sont vraies |
A | le choc septique |
B | le choc cardiogénique |
C | l’insuffisance hépatocellulaire |
D | l’état de mal épileptique |
E | toutes ces situations |
A | de le forcer à s’allonger pour l’examiner |
B | de tenter la manœuvre de Heimlich |
C | d’appeler l’ORL |
D | de faire un ECG |
E | de prescrire un aérosol de bronchodilatateurs |
A | une anisocorie |
B | une hypothermie |
C | un diabète insipide |
D | une absence de réflexes du tronc cérébral |
E | deux électroencéphalogrammes à 4 heures d’intervalle montrant un tracé faiblement réactif |
A | une CIVD ne se complique pas d’hémorragies |
B | une CIVD ne se complique pas de thromboses |
C | un sepsis peut se compliquer de CIVD |
D | le bilan biologique de l’hémostase est souvent normal |
E | la thrombopénie isolée est spécifique du diagnostic de CIVD |
A | purpura thrombotique thrombopénique |
B | méningoencéphalite virale |
C | purpura thrombopénique idiopathique |
D | choc anaphylactique |
E | purpura fulminans |
A | il existe une hypoxémie |
B | il existe une alcalose respiratoire |
C | il existe une acidose respiratoire |
D | il existe une acidose métabolique à trou anionique augmenté |
E | il existe une acidose métabolique à trou anionique normal |
A | une hospitalisation en urgence est nécessaire |
B | au cours d’une grossesse, le fœtus est protégé par la barrière placentaire |
C | en cas de céphalées isolées, un traitement ambulatoire est suffisant |
D | l’oxygénothérapie n’est pas indiquée en cas de récupération neurologique complète après une perte de connaissance initiale |
E | un taux de carboxyhémoglobine inférieur à 10 % contre-indique l’oxygénothérapie |
A | une fracture de rate |
B | une tamponnade |
C | un infarctus du myocarde |
D | un hémopéritoine |
E | un choc anaphylactique |
A | l’évolution est toujours bénigne |
B | une atteinte sévère des muscles respiratoires peut entraîner une insuffisance respiratoire aiguë obstructive |
C | une atteinte sévère des muscles respiratoires peut entraîner une insuffisance respiratoire aiguë restrictive |
D | une polyradiculonévrite aiguë n’entraîne jamais d’insuffisance respiratoire aiguë |
E | l’apparition d’une hémiplégie fait partie de l’évolution habituelle de la maladie |
A | la tachycardie ventriculaire est une complication fréquente |
B | l’arythmie complète par fibrillation auriculaire est une complication fréquente |
C | le bloc auriculoventriculaire de haut degré est une complication fréquente |
D | le bloc sino-auriculaire de haut degré est une complication fréquente |
E | les benzodiazépines n’entraînent généralement pas d’arythmie |
A | le flumazénil |
B | la naloxone |
C | le N-acétylcystéine |
D | la vitamine K |
E | le fomépizole |
A | une sténose des artères rénales |
B | un syndrome hépatorénal |
C | un syndrome hémolytique et urémique |
D | une insuffisance rénale obstructive |
E | un syndrome de Goodpasture |
A | une dyspnée de Küssmaul |
B | un reflux hépatojugulaire |
C | une hématémèse |
D | une hémoptysie |
E | un astérixis |
A | il existe une acidose métabolique à trou anionique augmenté |
B | il existe une acidose métabolique à trou anionique normal |
C | il existe une acidose respiratoire |
D | le diabète est l’unique cause connue d’acidocétose |
E | le principal traitement est le glucagon |
A | une intoxication par l’acide acétylsalicylique |
B | une diarrhée aiguë |
C | une intoxication par l’éthylène glycol |
D | une acidose lactique |
E | une intoxication par le méthanol |
A | une dyspnée |
B | une toux |
C | un foyer de râles crépitants |
D | une fièvre |
E | des ronchi bilatéraux |
A | la présentation clinique la plus commune est une bradypnée inspiratoire avec un cornage |
B | la radiographie thoracique est inutile |
C | la présence d’une normocapnie est un signe de gravité |
D | la recherche d’un facteur déclenchant est inutile |
E | l’intubation avec ventilation mécanique doit être systématique |
A | doit être réalisé uniquement en cas de douleur thoracique |
B | doit être systématique en cas de douleur thoracique |
C | est un examen invasif |
D | est inutile en cas d’intoxication médicamenteuse |
E | n’est jamais normal en cas d’embolie pulmonaire |
A | la dyspnée |
B | la douleur thoracique |
C | la syncope |
D | l’hypertension artérielle systémique |
E | un bloc de branche droit sur l’ECG |
A | des aérosols de bronchodilatateurs |
B | des aérosols d’antibiotique |
C | des aérosols de sérum physiologique |
D | des corticoïdes par voie inhalée |
A | les dérivés nitrés |
B | la noradrénaline |
C | la dobutamine |
D | le salbutamol |
E | les inhibiteurs calciques |
A | les bêtabloquants |
B | la dobutamine |
C | la morphine |
D | les benzodiazépines |
E | les corticoïdes |
A | dans tous les cas |
B | en cas de choc |
C | en cas de polypnée > 35/min |
D | en cas de turgescence jugulaire |
E | jamais |
A | le lavage gastrique est systématique |
B | le charbon activé est systématique |
C | le pronostic vital n’est jamais engagé |
D | le patient peut être dans un coma profond |
E | un électrocardiogramme ne doit pas être réalisé |
A | une péricardite |
B | une dissection aortique |
C | un rétrécissement aortique |
D | un rétrécissement mitral |
E | une dysfonction ventriculaire gauche |
A | une pneumopathie bactérienne |
B | une épiglottite |
C | un épanchement pleural |
D | une crise d’asthme |
E | un pneumothorax |
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