Hypotension orthostatique : quelles explorations cardiovasculaires et biologiques initiales ? Quelles solutions thérapeutiques ? L’apport des recommandations - 30/10/12
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Orthostatic hypotension (OHT) is a common symptom that affects about 1% of the population. Its prevalence increases with age.
In addition to the morbidity related to falls and syncope, OHT is a risk factor for cognitive decline and cerebrovascular morbidity and mortality. In most cases, its cause is easily found by the examination and some simple explorations.
For severe and/or less obvious mechanism, some paraclinical methods of investigation can be proposed. These include head upright tilt-test and Valsalva maneuver. Both explore the entire baroreflex arc, and are realised by non-invasive measurements of heart rate and blood pressure.
Other tests explore more specifically the parasympathetic outflow tract or sympathetic. In some situations cardiac MIBG scintigraphy and urinary catecholamines may be useful.
The respective choice of these tests depends on the clinical setting and suspected type of dysautonomic lesion.
Identifying the cause and assessment of functional impairment guide the therapeutic choices, which are primarily based on non-pharmacological approach.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Points essentiels |
L’hypotension orthostatique (HTO) est un symptôme fréquent qui affecte environ 1 % de la population. Sa prévalence augmente avec l’âge.
En plus de la morbidité liée aux chutes et aux syncopes, l’HTO constitue un facteur de risque de déclin cognitif et de morbi-mortalité cérébrovasculaire. Sa cause est aisément trouvée par l’interrogatoire et quelques explorations simples dans la majorité des cas.
Dans les formes graves et/ou de mécanisme moins évident, certaines méthodes paracliniques d’investigation peuvent être proposées. Il s’agit notamment du test d’inclinaison et de la manœuvre de Valsalva qui explorent l’ensemble de l’arc baroréflexe et qui sont effectués par des mesures non invasives de la fréquence cardiaque et de la pression artérielle.
D’autres tests explorent de façon plus spécifique la voie efférente parasympathique ou sympathique. Dans certaines situations, la scintigraphie cardiaque à la MIBG et le dosage des catécholamines urinaires peuvent être utile.
Le choix respectif de ces différents tests dépend du contexte clinique et du type de lésion dysautonomique que l’on soupçonne.
L’identification de la cause et l’évaluation du retentissement fonctionnel guident les choix thérapeutiques, qui reposent avant tout sur les moyens non pharmacologiques.
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Vol 41 - N° 11
P. 1098-1110 - novembre 2012 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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