L’IDE qui substitue le mode d’administration d’un médicament commet-elle une faute ? - 26/09/12
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Dans les circonstances de l’espèce, une Cour administrative d’appel annule le licenciement d’un IDE qui, de sa propre initiative, avait substitué le mode d’administration d’un produit morphinique. Si on ne peut généraliser la solution, il faut cependant en déduire que la jurisprudence consacre la part d’autonomie de l’IDE dans la mise en œuvre de la prescription.
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Vol 12 - N° 3
P. 331-335 - septembre 2012 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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