Épisiotomie et déchirures obstétricales récentes - 27/06/12
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Résumé |
L'épisiotomie dont la fréquence est en décroissance depuis 2005 (date de la parution des recommandations pour la pratique clinique [RPC]), ne doit plus être faite de « routine ». Certains facteurs de risque de déchirure périnéale sévère (primiparité, extraction instrumentale, macrosomie, dystocie des épaules, présentation postérieure) peuvent justifier une épisiotomie, non de façon systématique, mais sur la base de l'expertise clinique. Il n'y a pas de différence entre la réfection d'épisiotomie classique et la technique par surjet continu même si la seconde semble diminuer les douleurs en post-partum immédiat. En présence d'une épisiotomie, d'une déchirure périnéale ou vaginale isolée, cervicale ou d'un thrombus vaginal, la prévention de la spoliation sanguine est de mise par une prise en charge rapide. L'impact des épisiotomies et des déchirures périnéales sur l'activité sexuelle ultérieure est difficile à cerner étant donné les multiples facteurs concernés. Au sein de chaque équipe, il est important d'évaluer régulièrement le taux d'épisiotomies et de déchirures périnéales graves afin d'être en adéquation avec les RPC sur le sujet.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Épisiotomie, Déchirure obstétricale, Lésion sphinctérienne anale, Accouchement
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