Imagerie des infections urinaires basses - 21/06/12
Résumé |
Dans l’orchi-épididymite, l’échographie montre l’hypertrophie et l’hétérogénéité de l’épididyme et du testicule, avec une hypervascularisation au Doppler ; un abcès doit être surveillé échographiquement, pour ne pas méconnaître une tumeur nécrosée. Dans la prostatite, l’échographie est indiquée à la recherche d’une rétention vésicale et en cas d’échec du traitement (recherche d’obstacle, d’abcès, de pyélonéphrite). L’échographie endorectale analyse mieux le parenchyme, mais est d’un intérêt limité. La prostatite chronique est le principal diagnostic différentiel du cancer prostatique ; l’IRM de diffusion aide à les différencier. Pour les cystites, l’imagerie est indiquée lors des cystites récidivantes (recherche de facteurs favorisants), d’infections à germes non usuels (recherche de calcifications, d’emphysème, d’atteinte du haut appareil) et en cas de cystite pseudo-tumorale.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Appareil génital masculin, Infection, Prostate, Vessie, Testicules
Plan
Ne pas utiliser, pour citation, la référence française de cet article, mais celle de l’article original paru dans Diagnostic and Interventional Imaging, en utilisant le DOI ci-dessus. |
Vol 93 - N° 6
P. 530-538 - juin 2012 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.