Ultrastructural characterization of the epithelium that constitutes the cardiac gland epithelial ‘honeycomb’ in the stomach of the babirusa (Babyrousa babyrussa) - 15/02/08


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Abstract |
The cardiac gland region in the stomachs of eleven babirusa (Babyrousa babyrussa) from zoological collections was studied by scanning and transmission electron microscopy. An array of tightly-packed, thin-walled tubes, closely resembling a ‘honeycomb’ covered this region. The tubes were between twelve and sixteen cells (200 and 260 μm) in height and usually two cells (8–20 μm) in thickness. Mucus granules present in the cytoplasm of cells in the lower half of the tube were largely absent from the ad-luminal half of the tube. Instead, open goblet-like structures lined the tube, apparently giving additional strength. Bacteria were present in the lumen of each thin-walled tube and in the underlying gland pit. The evidence suggests that this large area of the babirusa stomach may be structured to form a stable, self-refreshing environment to house and multiply autochthonous commensal bacteria. To cite this article: A.A. Macdonald et al., C. R. Biologies 331 (2008).
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
La région des glandes cardiales de lʼestomac de 11 babiroussas (Babyrousa babyrussa) de parcs zoologiques a été analysée par microscopie à balayage et microscopie électronique. Un ensemble de tubes à parois fines, très serrés, ressemblant fortement à une structure de type nid dʼabeille couvrait cette zone. Ces tubes mesuraient entre 12 et 16 cellules (200 à 260 μm) de haut pour en moyenne 2 cellules (8–20 μm) dʼépaisseur. Des granules muqueux présents dans le cytoplasme des cellules de la moitié inférieure des tubes étaient généralement absents de la moitié subluminale. À la place, des structures ouvertes en forme de gobelets tapissaient le tube, lui assurant apparemment une rigidité supplémentaire. Des bactéries étaient présentes dans la lumière des tubes à fines parois et dans la pointe de la glande sous-jacente. Ceci suggère que cette large zone de lʼestomac du babiroussa serait structurée pour fournir un environnement stable et autoreproductible pour héberger et multiplier des bactéries commensales et autochtones. Pour citer cet article : A.A. Macdonald et al., C. R. Biologies 331 (2008).
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Ultrastructure, Digestion, Swine, Bacteria
Mots-clés : Ultrastructure, Digestion, Suidé, Bactérie
Plan
Vol 331 - N° 1
P. 32-41 - janvier 2008 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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