ARAP : mais à quoi sert donc une analyse de risque a priori ? - 03/05/12
Claude Naudin
Voir les affiliationsPour faire bref, cette analyse est la proche voisine du fameux « principe de précaution ». Autrement dit il faut imaginer la nature de toutes les « tuiles » qui peuvent tomber sur nos têtes et construire non pas le parapluie ad hoc (qui n’empêchera pas la tuile de tomber) mais créer le moyen que les tuiles restent en place. Cependant, ce concept nippon (Ishikawa) était bien en avance sur les directives européennes. Les lecteurs de la RFL connaissent (voir les Enjeux du laboratoire, novembre 2009) le diagramme dit des 5 M et/ou arêtes de poisson et/ou diagramme causes/effets, etc. Je ne leur ferai pas l’affront de l’exposer ici. Ce qui est certain, en revanche, c’est sa grande utilité, qu’il s’agisse de processus quantitatif ou qualitatif.
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Vol 42 - N° 442
P. 8-10 - mai 2012 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.