Comment je caractérise une masse rénale solide : proposition d’une nouvelle classification pour une approche simplifiée - 19/04/12
Résumé |
La modalité de référence pour la caractérisation d’une masse rénale solide est la tomodensitométrie. L’IRM et l’échographie peuvent apporter des informations diagnostiques utiles pour la caractérisation des masses dont la nature, kystique ou solide, reste indéterminée sur les données du scanner. Seule l’IRM peut, dans la majorité des cas, se substituer au scanner pour la caractérisation d’une masse solide. Dès lors qu’une masse fait la preuve de son caractère solide et vascularisé et en dehors d’un contexte suggérant une pseudotumeur inflammatoire, elle peut être classée en tomodensitométrie dans une des quatre catégories de la classification que nous proposons : les dysmorphies pseudotumorales (type 1) ; les angiomyolipomes riches en graisse typiques (type 2) ; les tumeurs indéterminées suspectes (type 3) ; les tumeurs typiquement malignes (type 4).
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Rein, Tumeur bénigne, Tomodensitométrie, Tumeur maligne, Angiomyolipome, Pseudotumeur
Plan
Ne pas utiliser, pour citation, la référence française de cet article, mais celle de l’article original paru dans Diagnostic and Interventional Imaging, en utilisant le DOI ci-dessus. |
Vol 93 - N° 4
P. 254-267 - avril 2012 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.