Posturographie dynamique numérisée dans l’étude de l’équilibre des patients avec claudication intermittente - 10/03/12
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Un tiers des patients âgés tombent tous les ans et l’altération de l’équilibre a été identifiée comme facteur de risque spécifique. La claudication intermittente est courante dans la population âgée, affectant approximativement 5% de la population au-delà de 50 ans. Le but de cette étude de preuve-de-concept était d’évaluer la prédominance de l’altération de l’équilibre chez les claudicants âgés et d’évaluer la perspicacité de chaque patient dans leur propre risque de chute. Un total de 58 claudicants (45 hommes), âge médian de 70 ans (extrêmes interquartile = 65-73), ont eu une évaluation objective de leur équilibre en employant la posturographie dynamique numérisée. Par rapport à 195 (5%) contrôles historiques, 24 (41%) claudicants avait un équilibre anormal quand le test d’organisation sensoriel (TOS) a été employé. Le dysfonctionnement vestibulaire s’est produit chez 52% des claudicants. Des anomalies comprenant la fonction somato-sensitive (22%) et visuelle (17%), et la confiance préférentielle à des sensations visuelles imprécises (17%) se sont produites moins souvent. Les prolongations du temps de latence du test de contrôle moteur étaient rares (n = 13) et dans la plupart des cas ont été également distribués entre ceux avec scores TOS composites normaux (n = 7) et anormaux (n = 6). Il y avait une différence significative dans l’histoire de chute entre les claudicants avec scores TOS anormaux et normaux (p = 0,003), avec un nombre plus élevé de patients avec le TOS anormal ayant été victime de chute dans la dernière année. Cependant, aucune corrélation entre la crainte de chute et le score composite TOS n’a été trouvée (test de Spearman, r = 0,124 ; p = 0,381). L’équilibre altéré, particulièrement secondaire aux problèmes vestibulaires, est très commun parmi les claudicants et peut prédisposer à une incidence élevée de chutes. Les claudicants avec équilibre anormal sont plus à risque d’avoir une histoire de chutes mais pas de crainte de chute, ce qui rend potentiellement ces patients à un risque plus élevé.
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Vol 25 - N° 2
P. 197-206 - février 2011 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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