Extravasations iatrogènes de solutés cytotoxiques ou hyperosmolaires. Prise en charge thérapeutique - 08/11/07
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L'extravasation d'une chimiothérapie, d'une perfusion de métabolites ou de produit de contraste pour examen radiographique peut être à l'origine d'une nécrose cutanée au niveau du site atteint. L'atteinte tissulaire va ainsi dépendre de la toxicité du produit, allant du simple inconfort pour l'inoculation bénigne (glucosé isotonique, Ringer lactate®, etc.) à la nécrose cutanée pour les antimitotiques. Les signes cliniques le plus souvent à type de douleur et d'érythème local doivent permettre le diagnostic et la prise en charge précoce afin d'éviter ou de limiter l'évolution vers la nécrose et les possibles séquelles fonctionnelles. Une fois la gravité reconnue, le traitement en urgence du site d'extravasation par une technique d'aspiration-lavage réalise une véritable « douche » sous-cutanée et permet le plus souvent l'élimination du toxique et la préservation du revêtement cutané. En cas de nécrose installée, les techniques classiques de la chirurgie plastique comme la cicatrisation dirigée, les greffes et les lambeaux permettent la guérison.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Extravasation, Chimiothérapie, Chimionécrose, Aspiration-lavage, Cytotoxicité, Perfusion
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