Remerciements - 29/09/11
À Françoise Bertrandias, manager naturel et médecin-chef à l’hôpital de Brest Bohars, et Claude Pujol, manager évident et directeur de la Scarmor de Landerneau. Ils m’ont démontré sur le long terme la valeur et l’efficience, sur les hommes et sur les résultats, d’un management respectueux du « Désir de travail ». À tous les deux, cet ouvrage doit la validité même de son contenu.
À Gilles Arnaud, professeur et chercheur en ressources humaines à l’ESC Toulouse. Depuis que nous en avons parlé à Rennes, à l’IRPEM, il y a quinze ans, lui et moi n’avons jamais cessé de développer ces idées ensemble. Il n’a jamais manqué de les exposer dans ses articles, de les tester, de les présenter dans les congrès qu’il fréquente. Il sait bien qu’au-delà de ce petit ouvrage de synthèse, il nous reste, à lui et à moi, à faire un énorme travail sur le fond. Travail, pulsion et sublimation attend ses lumières avec impatience.
À Catherine Caillard, « mère de tous les coachings », cofondatrice de la Société française de coaching, qui « occupe » comme secrétaire générale du GRAAM une place centrale dans le développement d’un accompagnement professionnel qui intègre la question du Désir de travail par la mise en place de l’Accompagnement fondamental©.
À Dominique Geneste, participante historique de mes groupes de compagnonnage, qui, à tous les moments clés de cette écriture, a su trouver des mots qui permettaient d’aller plus loin, de maintenir l’investissement sur la question, d’éloigner les doutes trop destructeurs.
À tous ceux qui, dans nos groupes de compagnonnage, ont fait le pari de s’engager dans cette aventure intellectuelle, ceux qui sont ou ont été membres des groupes de compagnonnage et les membres praticiens du GRAAM, en particulier Pierre Vienot et Marie Cazès très impliqués dans le développement.
Aux membres historiques de la cellule d’écoute et de médiation sur la souffrance au travail du Morbihan, Karine Furaut, Mariano Pasut, Daniel Moaligou, et surtout à la fondatrice et animatrice de la cellule au sein de l’AMIEM, Gisèle Esteve, qui doit encore aujourd’hui se battre contre tous ceux qui s’érigent comme propriétaires exclusifs de la souffrance au travail.
À l’association APM (Association progrès du management), son directeur Éric Eisenberg et tout particulièrement à Françoise Garcia, Fleurke Combier, Agnès Moulin qui, avec Stéphane André, furent des soutiens importants dans la diffusion du message
Au « groupe Montgolfier Management », qui traduit en actes le concept, et surtout : Hervé Gouil, Guillaume Antoine, Thibault Noel et Isabelle Maro.
À ma famille.
À Gwen, ma compagne, qui dut gérer l’inévitable hystérie de l’auteur. La façon dont elle s’engage dans son travail de médecin généraliste en Bretagne fait mon admiration chaque jour.
À mes trois fils :
• | Thibaud, vingt-sept ans, qui, malgré des circonstances terriblement défavorables, sut, sans se décourager, clarifier son Désir de travail jusqu’à en faire un projet réel, vrai et intéressant ; |
• | Renaud, vingt-deux ans, qui sut me donner du travail l’image d’une approche décontractée et naturelle, néanmoins efficace ; |
• | Yves-Marie, douze ans, qui m’expliqua patiemment et de façon lumineuse, pendant la rédaction de cet ouvrage, les raisons pour lesquelles les enfants s’ennuient. |
À mes clients, qui furent parfois des sponsors, et surtout à toutes les personnes qui m’ont fait confiance au point d’accepter de me parler de la relation à leur travail.
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