Les boissons sucrées, une cible méconnue pour la prévention des maladies cardiovasculaires - 26/09/11
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The observation of parallel increase in the prevalence of obesity and consumption of sweet beverages has drawn the attention of the scientific community on the possibility of a link between these tendencies at the population level.
Clinical and epidemiological evidence support the possibility of a relationship between consumption of sweet beverages and the occurrence of obesity and diabetes. The precise mechanisms of these associations need further clarification.
Nutritional education programs aiming at reducing sweet beverage intake in experimental schools have lowered the occurrence of obesity as compared to control schools.
Energy intake via beverages is less efficiently regulated than energy from solid foods.
Strategies for obesity and diabetes prevention should incorporate not only increasing physical activity, improving fatty acid quality of food items, but also reducing energy intake from beverages.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Points essentiels |
La progression parallèle de la prévalence de l’obésité et de la consommation de boissons sucrées dans la population a attiré l’attention de la communauté scientifique sur la possibilité d’une relation entre ces deux tendances.
Les observations cliniques et épidémiologiques mettent en évidence la possibilité d’un surrisque d’obésité et de diabète chez les consommateurs de boissons sucrées. Les modalités précises de cette relation – en termes de quantité de sucre ingérée, de fréquence de consommation ou de susceptibilité individuelle – restent encore à préciser.
La mise en œuvre dans certaines écoles de programmes d’éducation nutritionnelle visant à réduire la consommation de boissons sucrées des enfants a limité l’accroissement de la prévalence de l’obésité infantile observée dans les écoles témoins.
Les apports énergétiques véhiculés par les liquides sont moins efficacement régulés que ceux d’une alimentation solide, probablement en raison d’une moindre stimulation de la satiété.
Les stratégies de prévention de l’obésité et du diabète doivent prendre en compte le déficit d’activité physique, la qualité des acides gras de l’alimentation et l’équilibre énergétique, mais également la nature des sources d’apports caloriques et particulièrement les apports en boissons sucrées.
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Vol 40 - N° 10
P. 910-915 - octobre 2011 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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