Immunoglobulines intraveineuses - 28/03/07
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Résumé |
Les immunoglobulines intraveineuses sont d'origine extractive à partir des dons gratuits de sang humain. Elles doivent répondre à un « cahier des charges » bien précis en termes de sécurité sanitaire. Leurs mécanismes d'action sont probablement multiples et non exclusifs, d'importance variable en fonction de l'affection traitée et incluent essentiellement le blocage des récepteurs aux fragments Fc des immunoglobulines, l'inhibition de l'activation du complément, une modulation des cytokines et des antagonistes cytokiniques, et des effets liés directement à la région variable des immunoglobulines (liaison à l'antigène). Elles sont en général bien tolérées, à l'origine d'effets indésirables le plus souvent transitoires et bénins qui peuvent d'ailleurs être anticipés. Les indications en dermatologie se répartissent en trois groupes selon les niveaux de preuve et concernent essentiellement les vasculites (surtout maladie de Kawasaki), les connectivites et les maladies bulleuses auto-immunes. Leur utilisation dans les nécroses épidermiques toxiques est beaucoup plus controversée.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Immunoglobulines intraveineuses, Peau, Dermatomyosite, Kawasaki, Maladies bulleuses auto-immunes
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