Dynamics of Puumala virus infection in bank voles in Ardennes department (France) - 22/12/06
, D. Muller, J.M. Demerson, F. Boué, C. Caillot, F. Cliquet
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Abstract |
The hantaviruses (genus Hantavirus, family Bunyaviridae) include human pathogens and occur worldwide. In Western and Central Europe, the predominant serotype is Puumala (PUU) virus, which causes epidemic nephropathy. Voles are considered to be the main reservoir and the vector of PUU virus. A total of 719 rodents (mainly Clethrionomys glareolus, Apodemus sp.) trapped by capture-mark-recapture (CMR) in four sites in Ardennes department (France) between April 2004 and October 2005 were tested for the presence of PUU virus antibodies by enzyme-linked immunosorbent assay (ELISA). The predominant species, C. glareolus (86.5% [622 of 719]), also had the highest antibody prevalence (37.6% [291 of 773]). In C. glareolus, the antibody prevalence rate increased with age (weight) in site A, B and D, reaching more than 50% in the heaviest weight, and suggesting that horizontal infection may be important.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Les hantavirus (genre Hantavirus, famille Bunyaviridae) incluent des pathogènes humains et sont présents dans le monde entier. En Europe occidentale et centrale, le sérotype prédominant est le virus Puumala (PUU), qui provoque la néphropathie épidémique. Les campagnols roussâtres sont considérés comme le réservoir principal et le vecteur du virus PUU. Un total de 719 rongeurs (principalement Clethrionomys glareolus et Apodemus sp.) ont été piégés par capture-marquage-recapture dans quatre sites (A,B,C,D) du département des Ardennes (France) entre avril 2004 et octobre 2005 et ont fait l'objet d'une recherche d'anticorps du virus PUU par ELISA. L'espèce prédominante, C. glareolus (86.5 % [622 sur 719]), a également la prévalence d'anticorps la plus élevée (37.6 % [291 sur 773]). Chez C. glareolus, la prévalence augmente avec l'âge (poids) dans les sites A, B et D, atteignant plus de 50% pour le poids le plus lourd, ce qui suggère que l'infection horizontale puisse être importante.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Puumala virus, Clethrionomys glareolus, France
Mots clés : Virus Puumala, Clethrionomys glareolus, France
Plan
Vol 54 - N° 10
P. 572-577 - décembre 2006 Retour au numéro
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