Faut-il mettre une sonde double J de façon systématique lors d'une transplantation rénale ? - 01/01/06
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La protection des anastomoses urinaires par la mise en place d'une sonde urétérale est de pratique courante en urologie, mais leur utilisation de principe en transplantation rénale reste controversée. Pour certains, l'insertion systématique d'une sonde double J diminue l'incidence des complications urétérales (fistules et sténoses). Pour d'autres, qui préfèrent une insertion sélective dans certaines situations à risques, la mise en place d'une sonde double J ne saurait pallier une malfaçon technique. Pire, elle est responsable de complications propres (infections, incrustations, hémorragies), majore le coût de la transplantation et de toute façon est inutile dans plus de 90 % des cas. Nous nous proposons, pour des anastomoses urétérovésicales selon Lich-Gregoir en transplantation rénale, d'analyser les risques de la mise en place systématique d'une sonde double J en incluant son coût et le risque infectieux, et d'en évaluer les bénéfices sur la prévention des complications urétérales.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Complications urologiques, Transplantation rénale, Rein, Sonde urétérale, Sonde double J
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