Explorations isotopiques de l'appareil urinaire - 01/01/96
Clinique urologique, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, 47-83, boulevard de l'Hôpital, 75651 Paris cedex 13 France
Service de médecine nucléaire, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière France
Service de médecine nucléaire, groupe hospitalier Bicêtre France
Résumé |
Depuis les premières tentatives, réalisées dès la fin des années 1950, de quantifier la fonction de chacun des reins, de manière non invasive par simple injection de Diodrast marqué à l'iode 131 , les explorations isotopiques rénales et urologiques ont bénéficié de nombreux progrès tant techniques (gamma-caméra, traitement informatique du signal...) que radiopharmaceutiques (traceurs technétiés spécifiques de la filtration glomérulaire, de la sécrétion tubulaire, de la fixation cellulaire...). Ainsi sans même prendre en compte l'apport majeur des techniques isotopiques in vitro (dosages radio-immunologiques), les explorations isotopiques uronéphrologiques in vivo (clairances et scintigraphies) apparaissent, près des explorations radiologiques « anatomiques », essentielles pour l'évaluation « fonctionnelle ».
Plan
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