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Appareil locomoteur - 28/06/11

Doi : 10.1016/B978-2-294-70895-4.00040-2 
Remarques préliminaires

L’évaluation neurologique implique la connaissance de chaque muscle, anatomie et fonction; les livres ne manquent pas (en particulier quelques livres en langue française destinés aux kinésithérapeutes et physiatres). L’ambition de ce chapitre est de faire gagner du temps au pédiatre qui voudra rafraîchir ses connaissances. Dans un but très pragmatique, pour permettre l’examen analytique de l’appareil moteur, les principaux muscles nécessaires à la station debout et à la marche sont étudiés quant à leurs insertions et à leur fonction principale. La description est entreprise de la tête vers les pieds, parce qu’on marche avec sa tête…

Quelques définitions sur les muscles et mouvements sont rappelées ici :

un muscle se contracte rarement seul, plusieurs muscles participent à un mouvement. Le muscle premier responsable de la réalisation d’un mouvement est dit agoniste (par exemple le triceps brachial pour l’extension du bras). Le muscle qui s’y oppose est dit antagoniste (biceps brachial dans l’exemple précédent);
les muscles qui accompagnent ou aident un autre muscle dans son action sont dits synergiques;
certains muscles sont monoarticulaires s’ils croisent une seule articulation entre leurs points d’attache. D’autres sont bi- ou polyarticulaires. Il faut donc prendre des précautions pour les analyser en fixant l’une des articulations. Un exemple : les jumeaux (biarticulaires, genou et cheville) ne peuvent être testés que genou étendu.

Statique de la tête et du tronc

Les muscles agissant sur la colonne vertébrale sont très nombreux, leur étude n’a pas d’intérêt dans la paralysie cérébrale où le contrôle central seul est en défaut. Parmi les muscles extenseurs, on retrouve tous les muscles profonds de la région dorsale médiane, les muscles semiépineux de la tête, du cou et du thorax, les muscles érecteurs du rachis. Parmi les muscles fléchisseurs de l’axe, on retrouve les muscles de l’abdomen, les sterno-cléido-mastoïdiens, les scalènes, les muscles prévertébraux et les psoas.

Pour simplifier, deux muscles seulement seront étudiés ici, le trapèze comme porte-drapeau des muscles extenseurs, le sterno-cléido-mastoïdien comme porte-drapeau des muscles fléchisseurs; c’est de l’équilibre de ces deux groupes musculaires que dépendra la statique de la tête et du tronc (équilibre qui nous a permis dans les temps anciens de dresser la tête au-dessus des herbes…).

Trapèzes et extension de la tête et du tronc

Le trapèze est un très grand muscle superficiel situé à la partie supérieure du dos. Les deux trapèzes forment un très large losange de la base du cou aux dernières vertèbres dorsales en hauteur, d’un acromion à l’autre en largeur (Figure A.1).

Leurs insertions : origine sur la protubérance occipitale externe, ligament de la nuque, apophyses épineuses de la 7e cervicale à la 12e dorsale et terminaison sur l’extrémité latérale de la clavicule, le sommet de l’acromion et le bord supérieur de l’épine de l’omoplate.
Leur action : elle est complexe sur l’épaule et le bras, rotation vers le haut, élévation, adduction (on retrouvera le trapèze à propos de la position du «chandelier» des bras lorsqu’il est raccourci); le trapèze participe à l’extension de la tête lorsque l’épaule est immobile, avec beaucoup d’autres muscles profonds de la nuque qu’il recouvre.

Sterno-cléido-mastoïdiens et flexion de la tête

Les deux sterno-cléido-mastoïdiens sont les muscles les plus puissants de la région antérolatérale du cou (Figure A.2), avec les scalènes, plus profonds, qu’ils recouvrent.

Leurs insertions : d’une part sur le manubrium sternal et le tiers interne de la clavicule; d’autre part, sur l’os temporal au niveau de la mastoïde, et jusqu’à l’occipital en arrière.
Leur action : s’ils se contractent simultanément, ils entraînent la flexion antérieure de la tête, ils sont donc antagonistes des trapèzes; si un seul se contracte, il entraîne une flexion latérale du même côté et une rotation de la face du côté opposé.

Pathologie de la commande centrale

La commande centrale de la posture en position debout assure le maintien de la tête et du tronc en position verticale, c’est-à-dire un équilibre entre les muscles extenseurs, antigravitaires (les trapèzes et les muscles synergiques qu’ils recouvrent) et leurs antagonistes (sterno-cléido-mastoïdiens et autres muscles synergiques au niveau du cou et de la région thoracoabdominale).

L’hypotonie globale entraîne la chute passive de la tête et du tronc, sans possibilité de maintien en position verticale.

La spasticité des muscles antigravitaires (extenseurs) entraîne un déséquilibre avec les antagonistes (fléchisseurs) et donc une attitude en opisthotonos. Cette situation provoquera un raccourcissement musculaire en raison du rapprochement permanent des insertions des trapèzes; cette posture anormale est donc primitivement «neurologique» et secondairement «musculaire».

Articulation coxofémoraleRappel anatomique et fonctionnel

La cavité articulaire ou acétabulum est une surface articulaire très profonde, excavée sur le segment moyen de la face externe de l’os coxal. Elle s’articule avec la tête du fémur. Elle est constituée d’une surface semi-lunaire encroûtée de cartilage, ouverte vers le bas. Au centre, dans une zone non cartilagineuse, s’insère le ligament rond provenant de la tête du fémur (Figure A.3).

L’épiphyse proximale du fémur est constituée par la tête fémorale, le col fémoral, les grand et petit trochanters. La tête du fémur, lisse et arrondie, s’articule avec l’acétabulum. Elle correspond aux deux tiers d’une sphère d’environ 25 mm de rayon, dont l’axe est dirigé en haut, en dedans et en avant. Elle est tapissée de cartilage sauf au niveau d’une fossette, un peu en arrière et au-dessous du sommet, sur laquelle s’insère le ligament rond (Figure A.3). Le col du fémur est la partie rétrécie et allongée qui relie la tête aux deux trochanters; long de 40 mm environ, il forme avec la diaphyse l’angle cervicodiaphysaire. Le grand trochanter est une volumineuse éminence osseuse qui prolonge la diaphyse et surplombe le col du fémur. Le petit trochanter est une saillie conique située à la jonction du col et du corps, à la face postérieure du fémur.

Les ligaments sont puissants, très résistants, au nombre de quatre, ils enveloppent le tout et maintiennent les surfaces articulaires. Le ligament rond, ou ligament de la tête fémorale, part de la fossette de la tête fémorale et s’étale en trois faisceaux pour se fixer sur l’acétabulum; propre à l’homme, ce ligament est très résistant et contribue à la vascularisation de la tête fémorale.

Principaux musclesMuscles principaux de la flexion

Le majestueux psoas iliaque est fait de trois chefs (on peut oublier le petit psoas) : le grand psoas va des corps vertébraux lombaires au petit trochanter et la portion iliaque va de la crête iliaque et du sacrum au petit trochanter (Figure A.4). L’ensemble forme une masse musculaire énorme, c’est le muscle principal de la flexion de la cuisse, monoarticulaire, puissant. Il est auxiliaire pour l’abduction et la rotation externe. Le droit antérieur de la cuisse est biarticulaire, c’est le chef superficiel du quadriceps fémoral, il va de l’épine iliaque antéro-inférieure à la tubérosité du tibia, englobant la rotule dans ses fibres (Figure A.5). Il est fléchisseur et accessoirement abducteur. Le pectiné est un muscle très court, du pubis à la partie haute et postérieure du fémur (Figure A.6). Il est fléchisseur mais aussi adducteur et rotateur interne.

Le sartorius est biarticulaire, superficiel. Il part de l’épine iliaque antérosupérieure et se termine sur la tubérosité tibiale (Figure A.7). Il est fléchisseur de la cuisse mais aussi abducteur et rotateur externe.

Le tenseur du fascia lata s’insère sur l’épine iliaque antérosupérieure, il est très court et se prolonge par une longue bande tendineuse, le tractus iliotibial du fascia lata, qui se termine sur la tubérosité tibiale (Figure A.7). Il est fléchisseur, mais aussi abducteur et rotateur interne.

Muscles principaux de l’extension

Le grand fessier, le plus superficiel, le plus épais, le plus large des muscles fessiers, part de la partie postérieure de la crête et de l’aile iliaques ainsi que de la crête sacrée pour se terminer sur la tubérosité glutéale, en arrière et au-dessous du grand trochanter (Figure A.8). Puissant muscle monoarticulaire, il est le muscle principal de l’extension et de la rotation externe. Il travaille dans la course et la montée des escaliers, il est inactif dans la marche normale. Les ischiojambiers regroupent le chef long du biceps fémoral, le semitendineux et le semimembraneux (Figure A.9). Ce sont des muscles très longs qui, comme leur nom l’indique, vont de l’ischion au péroné pour le premier, au tibia pour les deux autres. Ils sont donc tous les trois biarticulaires et représentent, avec le grand fessier, les muscles principaux de l’extension de la hanche.

Muscle principal de l’abduction

Le moyen fessier, muscle profond, va de l’aile iliaque au grand trochanter (Figure A.10). C’est le puissant abducteur de la cuisse, un muscle essentiel à la marche normale puisque, par sa contraction du côté de la jambe d’appui, il va maintenir le petit bassin horizontal pendant le pas : si sa contraction est insuffisante, le bassin s’affaissera du côté opposé. C’est ce qu’on observe en cas de paralysie cérébrale. Cette faiblesse musculaire provoque un «déhanchement» caractéristique, comme dans la luxation congénitale de la hanche mais par un mécanisme différent.

Muscles principaux de l’adduction

Ce sont trois muscles monoarticulaires, les adducteurs, et un muscle biarticulaire, le muscle droit interne ou gracile. Les adducteurs (le long, le court et le grand) sont monoarticulaires, du pubis au fémur (Figure A.11); ils sont principalement adducteurs et accessoirement rotateurs internes. Le muscle droit interne ou gracile va du pubis au tibia, il est auxiliaire pour la flexion et la rotation interne, il est biarticulaire.

N.B. Lorsque le clinicien palpe ce qu’il appelle «la corde des adducteurs», il palpe le droit interne raccourci.

Muscle principal de la rotation interne

Le petit fessier, muscle le plus profond, va de l’aile iliaque au grand trochanter (recouvert par le moyen fessier), il est rotateur interne d’abord et aussi abducteur (auxiliaire du moyen fessier). Les trois muscles adducteurs sont également auxiliaires dans la rotation interne.

Muscles principaux de la rotation externe

Ce sont le grand fessier et les six rotateurs externes. Le grand fessier (voir la Figure A.8), étudié plus haut, est à la fois le muscle principal de l’extension et celui de la rotation externe. Il est assisté de six petits muscles profonds de la fesse, tous également monoarticulaires, non décrits ici.

D’un point de vue fonctionnel, flexion et extension se font dans un plan sagittal. La flexion est le mouvement qui porte le genou en avant du plan frontal. L’extension est le mouvement qui porte le genou en arrière du plan frontal. Dans le plan frontal, l’abduction écarte la cuisse alors que l’adduction porte la cuisse en dedans (avec un peu de flexion inévitable). Dans le plan horizontal, la rotation externe porte la pointe du pied en dehors alors que la rotation interne le porte en dedans.

Genou et jambeRappel anatomique et fonctionnel

L’articulation du genou unit le fémur, le tibia et la rotule : condyles fémoraux et plateau tibial, surface articulaire de la rotule en avant, capsule, ménisques, ligaments latéraux et croisés, ligament patellaire. Le ligament patellaire renforce la capsule à l’avant. Il s’étend depuis la rotule jusqu’à la tubérosité antérieure du tibia. Le genou est une articulation fragile dont les axes peuvent être modifiés lorsque des forces musculaires anormales s’exercent.

D’un point de vue fonctionnel, le genou permet les mouvements de flexion et d’extension. La flexion, contrairement à la terminologie habituelle, rapproche les faces postérieures de la cuisse et du mollet. Si la hanche est fléchie, l’amplitude de la flexion du genou est plus large que si elle est étendue. L’extension complète place la cuisse et la jambe en alignement dans le plan sagittal. Au-delà, c’est l’hyperextension, comme si l’articulation du genou était poussée en arrière (genu recurvatum).

Principaux muscles

Les muscles principaux agissant sur la flexion du genou : les ischiojambiers. Déjà étudiés à propos de la hanche (voir la Figure A.9), ces trois muscles biarticulaires sont à la fois extenseurs de la hanche et fléchisseurs du genou.
Le muscle principal de l’extension du genou : le quadriceps fémoral. Le chef superficiel, ou muscle droit de la cuisse, biarticulaire, a déjà été étudié comme fléchisseur de la hanche (voir la Figure A.5). Les trois muscles vastes (externe, interne et intermédiaire) forment une puissante masse musculaire, ils sont monoarticulaires, extenseurs du genou. Les vastes et le droit interne se fixent sur la base de la rotule; par l’intermédiaire du ligament patellaire, ils sont aussi insérés sur la tubérosité tibiale (voir la Figure A.12).

Cheville et piedRappel anatomique et fonctionnel

Le tarse est l’ensemble des os constituant la moitié postérieure du squelette du pied. Ce sont des os courts qui forment la cheville (Figure A.13). En arrière, le calcanéus surmonté de l’astragale (ou talus); en avant le cuboïde et quatre plus petits, le scaphoïde et les trois cunéiformes. C’est l’astragale qui s’articule avec le tibia et le péroné, entre les deux malléoles; il soutient tout le poids du corps qu’il répartit aux autres os du tarse.

Le calcanéus s’articule avec l’astragale en haut et le cuboïde en avant. Il forme la saillie du talon et sert d’attache à plusieurs muscles du mollet. Le cuboïde s’articule avec le calcanéus en arrière, avec le scaphoïde et le cunéiforme latéral en dedans, avec les 4e et 5e métatarsiens en avant. Les trois premiers métatarsiens s’articulent avec les trois cunéiformes. Les métatarsiens forment le cou-de-pied. L’ensemble forme la voûte plantaire.

On décrit des courbures longitudinales (plus arquées le long du bord interne que le long du bord externe) et une courbure transversale, au niveau des cunéiformes et du cuboïde, peu prononcée. Ce sont les ligaments et les attaches musculaires qui maintiennent ces courbures, courbures qui servent à distribuer adéquatement le poids du corps.

Quatre articulations sont importantes, on l’a vu : la tibiotarsienne entre astragale et pince malléolaire formée par le tibia et le péroné; la calcanéoastragalienne; la médiotarsienne entre calcanéus, astragale et scaphoïde; la calcanéocuboïdienne entre calcanéus et cuboïde.

Principaux muscles

Douze muscles sont répartis en trois compartiments : antérieur, latéral et postérieur.

Le muscle tibial antérieur est le plus puissant de la loge antérieure. Il part des deux tiers proximaux de la surface antérieure du tibia et se termine sur l’os cunéiforme médial et la base du premier métatarsien (Figure A.14). Son action est la flexion dorsale du pied. Il est aussi supinateur. Les deux autres muscles de la loge antérieure agissent sur les orteils, le long extenseur du gros orteil et le long extenseur des orteils.
Le triceps sural est le muscle principal de la loge postérieure de la jambe; comme son nom l’indique, il est fait de trois muscles (Figure A.15) : les gastrocnémiens (ou jumeaux) qui s’insèrent au-dessus des condyles fémoraux, et le soléaire qui est la partie profonde qui s’insère sur la face postérieure du tibia. Les trois réunis forment un puissant tendon, le tendon d’Achille qui s’insère sur la tubérosité du calcanéus. Ce muscle très puissant est biarticulaire; son action est la flexion plantaire du pied.
Le muscle tibial postérieur est le plus profond de la jambe, il va de la face postérieure du tibia au scaphoïde; il agit sur la supination du pied et accessoirement sur la flexion plantaire. Deux autres muscles de la loge postérieure, le long fléchisseur de l’hallux et le long fléchisseur des orteils, agissent sur la flexion du gros orteil et la flexion des orteils. Les muscles péroniers du compartiment latéral, le muscle long fibulaire et le muscle court fibulaire, permettent la flexion plantaire et l’éversion du pied.

D’un point de vue fonctionnel, la cheville permet des mouvements de flexion-extension ainsi que de pronosupination. La flexion dorsale ou dorsiflexion du pied rapproche le dos du pied de la face antérieure de la jambe; la flexion plantaire, ou extension, l’éloigne. Dans la supination, la plante du pied tend à regarder en dedans (inversion), elle s’accompagne inévitablement d’adduction et de flexion plantaire. Dans la pronation, la plante du pied tend à regarder en dehors (éversion), elle s’accompagne inévitablement d’abduction et de flexion dorsale.

En bref pour le clinicien
Dans le cas d’une paralysie cérébrale, le pédiatre et le neurologue considèrent essentiellement la commande centrale et ses anomalies. Mais ce contrôle cérébral s’exerce sur un système musculosquelettique; celui-ci va se déformer selon les groupes musculaires hypotoniques ou spastiques; dans ce dernier cas, raccourcissements musculoligamentaires ou déformations osseuses vont gêner l’examen neurologique. Certes, ce n’est pas au pédiatre de faire une analyse fine, muscle par muscle, mais au physiatre et à l’orthopédiste. Cependant, il faut un bagage minimum de connaissances (ce que nous avons en partie oublié depuis que s’éloignent les bancs de la Faculté) pour comprendre les propositions thérapeutiques des spécialistes.
De plus, la faiblesse musculaire (d’où le nom de paralysie cérébrale) est toujours présente à des degrés variables; elle est impossible à évaluer chez les très jeunes enfants; chez l’enfant plus âgé, elle devient une information indispensable pour les indications chirurgicales éventuelles.



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