Régression spontanée d’un lymphome B à grandes cellules du palais - 02/06/11
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Summary |
Introduction |
Non-Hodgkin lymphomas are common cancers that can develop in the upper aero-digestive tract. We describe a case of a large B-cell palatine lymphoma with spontaneous clinical regression.
Case |
A 58-year-old female patient presented with a sub-mucosal lesion of the hard palate. CT scan and magnetic resonance imaging revealed a lesion invading the right posterior palatine canal. At the second consultation, 15days after performing the biopsy, the lesion had disappeared. PET scan proved the absence of lesion. Lymph node biopsy supported the diagnosis of large B-cell lymphoma.
Discussion |
Large B-cell lymphoma of the hard palate is a rare disease. Only 27 cases have been described in the international literature. The anatomopathological analysis is often difficult to perform. The final diagnosis is often made by immunochemistry. The usual treatment is R-CHOP chemotherapy (cyclophosphamide, adriamycin, vincristine, prednisone combined to rituximab) with a 5-year survival rate at 55%.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Introduction |
Les lymphomes non-Hodgkiniens (LNH) sont des cancers fréquents qui peuvent être localisés au niveau des voies aéro-digestives supérieures (VADS). Nous décrivons un lymphome B à grandes cellules palatin spontanément régressif.
Observation |
Une patiente de 58ans présentait une lésion sous-muqueuse du palais dur. Au scanner et à l’IRM, la lésion envahissait le canal palatin postérieur droit. Quinze jours après la biopsie, la lésion avait disparu ce que confirmait la tomographie par émission de positrons. Une biopsie ganglionnaire a finalement permis de poser le diagnostic de lymphome B à grandes cellules.
Discussion |
Le lymphome B à grandes cellules du palais dur est rare. Vingt-sept cas ont été publiés. L’examen anatomopathologique est souvent difficile à interpréter. Le diagnostic définitif repose sur les immunomarquages. Le traitement de référence est la chimiothérapie de type R-CHOP (cyclophosphamide, adriamycine, vincristine, prednisone) associée au rituximab, avec un taux de survie global à cinq ans de 55 %.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : B-cell lymphoma, Palate, Spontaneous regression of neoplasm
Mots clés : Lymphome, Cellules B, Palais, Régression spontanée de néoplasme
Plan
Vol 112 - N° 3
P. 180-182 - juin 2011 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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