Ostéodistraction du maxillaire dans les déficits transversaux chez l’adulte : analyse de la littérature et cas clinique - 26/05/11
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Résumé |
La distraction ostéogénique est une technique de régénération et de reconstruction osseuse. Razdolsky et al. (2001) [1 ] la définissent comme étant « le processus de formation d’os nouveau par l’étirement ». La disjonction désigne l’écartement de deux structures anatomiques au niveau de leur système de jonction, donc d’une suture. Elle permet classiquement l’écartement des deux hémi-maxillaires dans le sens transversal grâce à une ostéotomie. La distraction transversale du maxillaire semble être une alternative de choix à la chirurgie orthognathique seule, sujette souvent à des récidives (Betts et al., 2004) [2 ]. Le plus grand intérêt de la distraction ostéogénique réside dans un potentiel d’expansion plus important et d’accroissement simultané des tissus mous. Cette technique permet entre autres une augmentation du périmètre d’arcade, pouvant éviter des extractions dentaires dans les cas d’encombrement maxillaire, et semble donner des résultats plus stables que la disjonction intermaxillaire chirurgicale conventionnelle.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Déficit transversal, Distraction ostéogénique, Disjonction chirurgicale, Tissus mous
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Vol 9 - N° 2
P. 157-178 - juin 2011 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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