Toxicité rénale des antiangiogéniques - 19/05/11
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Résumé |
Depuis quelques années, de nouvelles thérapies antiangiogéniques ont permis une amélioration de la survie sans progression et la survie globale de patients souffrant de certains cancers (rein, tumeurs stromales gastro-intestinales, sein, côlon). Leur objectif est de bloquer l'action du vascular endothelial growth factor (VEGF) sur les cellules endothéliales et les cellules tumorales soit en bloquant le VEGF circulant par un anticorps monoclonal (bévacizumab), soit en bloquant son récepteur par un inhibiteur des récepteurs tyrosine-kinases (sunitinib, sorafénib). Ces traitements ont permis une amélioration du pronostic des patients mais ces thérapeutiques ont de nombreux effets secondaires. Outre les effets secondaires digestifs ou cutanés, le développement d'une hypertension artérielle ou d'une protéinurie semble fréquent et nécessite une bonne collaboration entre oncologues, néphrologues et cardiologues. Dans cet article, nous ne traitons que des complications cardiovasculaires et rénales de ces traitements.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Anti-VEGF, Microangiopathie thrombotique, Antiangiogéniques, Prééclampsie
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