Place de l’imagerie dans la spondylarthrite - 11/01/11
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Résumé |
Si la radiographie standard est classiquement la pierre angulaire du diagnostic et du suivi structural des spondylarthrites, les comités d’experts ont fait récemment la part belle à l’imagerie moderne, et notamment à l’IRM dans les critères de classification et les recommandations récentes du groupe Assessment of Spondyloarthritis International Society (ASAS)-Outcome Measures in Rheumatoid Arthritis Clinical Trials (OMERACT). L’intérêt de l’IRM et, plus récemment celui de l’échographie, repose avant tout sur trois points clés : la possibilité d’établir un diagnostic précoce de spondylarthrite en l’absence de sacro-iliite radiologique ; la capacité d’orienter la prise en charge thérapeutique du clinicien à tout moment de l’évolution ; l’apport d’arguments objectifs d’inflammation et de réponse au traitement. La place respective de ces deux techniques d’imagerie dans le diagnostic et le suivi des formes axiales et périphériques de spondylarthrite reste à définir par le biais des études prospectives longitudinales en cours. L’arrivée de l’IRM corps entier, de nouvelles séquences IRM et de l’imagerie par tomographie à émission de positons viendra sous peu renforcer l’arsenal diagnostique.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Spondylarthrite, IRM, Échographie
Plan
Ne pas utiliser, pour citation, la référence française de cet article, mais sa référence anglaise dans le même volume de Joint Bone Spine. |
Vol 78 - N° 1
P. 26-31 - janvier 2011 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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