Les points forts de la transplantation pulmonaire, en France, en 2010, sont une augmentation de l’activité de greffe depuis 2005 ainsi qu’une amélioration des résultats au niveau de la durée d’attente sur liste, de la survie, de la mortalité ainsi que de la qualité de vie grâce notamment à une amélioration des techniques chirurgicales et de réanimation, une meilleure prévention des risques infectieux, … Cependant, il subsiste quelques écueils : défaillance primaire du greffon, rejet chronique, complications liées aux immunosuppresseurs…

Il est également important de mettre en avant la fragilité des équipes de transplantation avec comme impératif l’attribution de moyens supplémentaires dédiés à la transplantation.

Un autre objectif est l’augmentation du nombre de greffons pulmonaires par la promotion du don d’organe, grâce au reconditionnement Ex vivo et par l’augmentation de la prélevabilité afin d’atteindre les 4,5 transplantations par millions d’habitants (= 350-400 transplantations par an).