Dyspareunies - 01/01/98
[6-0590]
Sylvain Mimoun : Gynécologue responsable de l'unité de gynécologie psychosomatique et d'études de la sexualité humaine
service de gynécologie-obstétrique de l'hôpital Robert-Debré (Pr Blot), 45, rue de Maubeuge, 75009 Paris France
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Résumé |
Si la douleur est qualifiée de psychogène, la patiente le vit comme une non-« validation », une non-acceptation de sa plainte.
Plan
Causes
Étiologies des dyspareunies superficielles à rechercher systématiquement Vulvovaginites infectieuses. Causes iatrogènes. Causes générales : diabète ; neuropathies. Carence oestrogénique. Dermatoses : lichen scléreux vulvaire ; lichen plan ; vestibulite ; VIN (néoplasie intraépithéliale vulvaire) de grade 3 (atypies cellulaires avec deux entités cliniques : la maladie de Bowen et la papulose bowenoïde).
Étiologies des dyspareunies profondes Endométriose. Infections génitales hautes aiguës ou chroniques. Kystes fonctionnels ou organiques de l'ovaire. Syndrome de Masters et Allen.
Causes psychologiques Problématiques psychosexuelles. Conflits conjugaux et/ou relationnels. Syndromes dépressifs (masqués). États névrotiques.
© 1998
Elsevier, Paris. Tous droits réservés.
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- Douleurs fonctionnelles périnéales : démembrement clinique
- J.-J. Labat, M.-A. Perrouin-Verbe, S. Ploteau
- Hypoglycémie réactionnelle
- C. Amouyal, S. Moutel
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