P466 - Évaluation des pratiques lors d’une suspicion d’infection urinaire aux urgences pédiatriques - 21/07/10
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Résumé |
Au service des urgences pédiatriques, nous avons réalisé une étude prospective sur 13 mois.Tous les enfants ayant bénéficiés d’une demande d’ ECBU ont été inclus dans l’étude. 392 enfants ont été inclus dans l’étude. La fièvre était dans 57 % le motif de consultation et 20 % les brûlures urinaires. Le recueil des urines était dans 53 % en per-mictionnel et 44 % à l’aide d’une poche à urines. La sensibilité de la bandelette urinaire était de 91 % et la spécificité de 68%, la valeur prédictive positive de 52 % et la valeur prédictive négative de 95 %.
L’Escherichia Coli a été retrouvé dans 70 % des infections urinaires et il était résistant à l’amoxicilline dans 56 % des cas, à l’association amoxicilline-acide clavulanique dans 33,3 % des cas, au cotrimoxazole dans 19 % mais pas résistance dans notre étude ni à la céftriaxone ni au céfixime.
Dans notre étude la bandelette urinaire a représenté un moyen fiable de diagnostic avec une valeur prédictive négative de 95 % mais l’ECBU reste trop souvent demandé.
L’Eschérichia coli est le premier germe responsable des infections urinaires, sa résistance bactérienne est un sujet inquiétant et afin de ne pas aggraver cette évolution, le traitement antibiotique initial doit répondre aux recommandations de l’AFSSAPS.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Vol 17 - N° 6S1
P. 166 - juin 2010 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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