Langage - L’écheveau des dysharmonies - 29/06/10
Françoise Estienne
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Dysphasie, dyslexie, dyspraxie… Françoise Estienne nous livre ici sa réflexion sur ces « dys » qu’elle résume en « dysharmonies ». Elle le dit, elles sont « l’enchaînement où causes et effets s’entrecroisent pour former un écheveau dont il va falloir délier et dévider les fils ».
Nommer les choses, c’est les faire exister autrement, et plus jamais elles n’existeront comme si on ne les avait pas nommées ainsi.
(Jacques Cornet)
J’étais une nullité scolaire et je n’avais jamais été que cela, c’était beaucoup plus qu’une certitude, c’était moi. De cela certains enfants se persuadent très vite, et s’ils ne trouvent personne pour les détromper, comme on ne peut vivre sans passion, ils développent, faute de mieux, la passion de l’échec.
(Daniel Pennac)
Ces deux citations, du sociologue et de l’écrivain, synthétisent l’intention de cet article.
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Vol 16 - N° 88
P. 32-35 - mai-juin 2010 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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