Myopathie facio-scapulo-humérale - 01/01/99
Jean Pouget : Professeur de neurologie
Shahram Attarian : Chef de clinique-assistant.
Service de neurologie et maladies neuromusculaires (Pr Pouget), centre hospitalier universitaire de La Timone, 1, chemin de l'armée d'Afrique, 13385 Marseille cedex 5 France
pages | 5 |
Iconographies | 4 |
Vidéos | 0 |
Autres | 0 |
Résumé |
La sémiologie de la myopathie facio-scapulo-humérale (FSH) est bien établie depuis Landouzy et Dejerine et le diagnostic est actuellement à la fois clinique et génétique. La transmission est de type autosomique dominant. L'anomalie génétique porte sur le chromosome 4. Le gène lui-même n'est pas encore connu. Les caractères principaux sont une grande variabilité phénotypique mais aussi de sévérité. Ainsi, les formes limitées sont fréquentes, de même que les formes extensives. Le statut des myopathies scapulopéronières, naguère considérées comme des variantes de la FSH, paraît devenu autonome avec une liaison possible au chromosome 12. Quant au syndrome FSH, il ne paraît pas dans l'ensemble être différent de la myopathie FSH traditionnelle.
Plan
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’achat d’article à l’unité est indisponible à l’heure actuelle.
Déjà abonné à ce traité ?