Don et greffe d’organes avec donneur vivant, état des lieux et propositions - 14/04/10
Daniel Maroudy
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Donner ses organes n’est pas un acte naturel. En France, si le nombre de greffes d’organes à partir de donneurs décédés est parmi les plus élevés au monde, le taux de donneurs vivants est particulièrement bas. Malgré un renforcement des garanties en faveur du donneur vivant grâce aux lois de bioéthique de 1994 et à leur révision en 2004, notamment par la mise en place de comité d’experts, le donneur doit encore faire face à de nombreuses difficultés qu’il faudrait corriger : formations plus spécifiques des professionnels de santé, facilités administratives, meilleure information de la population, etc.
Mots clés :
Agence de la biomédecine
,
Don d’organe
,
Donneur vivant
,
Éthique
,
Greffe
Plan
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Vol 29 - N° 1
P. 31-34 - janvier-mars 2010 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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