Traitement chirurgical des néoplasies intraépithéliales vulvaires - 01/04/10
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Résumé |
Les néoplasies intraépithéliales vulvaires (VIN) sont des pathologies bénignes mais en fréquence croissante surtout chez les patientes jeunes, en raison du développement des infections génitales à human papilloma virus (HPV) induites. L'International Society for the Study of Vulvovaginal Diseases (ISSVD) a récemment modifié leur classification en trois types : VIN classique, VIN différenciée et VIN inclassable. Certaines formes sont susceptibles de dégénérer en cancer invasif. Leur éradication constitue donc la meilleure prévention. Si la chirurgie reste le traitement le plus efficace, elle n'est pas sans laisser des séquelles esthétiques, fonctionnelles et psychologiques. D'autres approches locales moins agressives sont apparues, comme la destruction photodynamique ou l'immunomodulation locale. Les indications respectives de ces traitements sont délicates et nécessitent souvent une confrontation multidisciplinaire. Un suivi prolongé des patientes traitées est indispensable en raison des risques importants de récidive de cette pathologie. La vaccination anti-HPV devrait réduire l'incidence, au moins pour les formes viro-induites.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : VIN, Vulvectomie superficielle, Thérapie photodynamique, Imiquimod
Plan
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