Quelle anesthesie pour quel geste ? - 29/01/10
Résumé |
Objectifs |
Sécuriser l’acte anesthésique comme dans un bloc opératoire.
Adapter l’anesthésie à la posture, la durée et la douleur liée à l’acte radiologique.
L’analgésie post interventionnelle nécessite une stratégie définie lors de la consultation pré-anesthésique.
Le passage en salle de réveil est incontournable mais les places sont liées aux aléas de l’activité chirurgicale du jour.
Messages à retenir |
Programmer les actes radiologiques en tenant compte des « contraintes médicales » des patients.
Environnement hors bloc opératoire et contexte ambulatoire des interventions.
Actes courts réalisés sous sédation e/o anesthésie locorégionale e/o anesthésie générale.
Actes longs réalisés sous anesthésie générale associée ou non à une analgésie locorégionale.
Prévenir les douleurs liées aux embolisations et aux techniques de radiofréquence.
Résumé |
Lors de la prise en charge par la Radiologie Interventionnelle de la douleur chez les patients, l’équipe d’anesthésie occupe une place prépondérante. L’importance de la consultation pré-anesthésie n’est plus discutée mais a été développée auparavant. Notre objectif sera d’expliquer aux Radiologues qu’elle est notre réflexion, au cas par cas, en fonction des impératifs qui nous sont imposés par la pathologie en cause, l’état du patient, l’environnement Radiologique et de ce que l’on attend de nous en termes d’analgésie au moment du geste et dans ses décours immédiats. Nous détaillerons également quels sont nos impératifs en terme de surveillance du patient. En fonction de ces éléments, nous expliquerons quels sont les types de techniques que nous pouvons proposer et dans quelle marge de sécurité.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Douleur, radiologie interventionnelle, Technique
Vol 90 - N° 10
P. 1413 - octobre 2009 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.