IRM de rehaussement tardif : apport dans les differentes cardiopathies - 01/12/09
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Résumé |
Objectifs pédagogiques |
Savoir programmer une séquence d’IRM cardiaque de rehaussement tardif (choix du temps d’inversion) avec injection de Gadolinium.
Connaître les différentes étiologies des hypersignaux.
Décrire la topographie des hypersignaux en fonction des étiologies.
Discuter la place de l’IRM dans ces différentes cardiopathies tant sur le plan diagnostique que pronostique.
Messages à retenir |
Le choix du temps d’inversion (TI) est essentiel.
L’IRM de rehaussement tardif est la méthode de référence pour analyser la viabilité myocardique après infarctus du myocarde.
Les hypersignaux (après injection de Gadolinium) ne sont pas spécifiques de l’infarctus du myocarde et peuvent être présents dans les myocardites, les cardiopathies de surcharge (amylose, sarcoïdose,…) mais aussi dans les cardiomyopathies dilatées ou hypertrophiques.
Les hypersignaux ont une valeur diagnostique mais aussi pronostique.
La topographie de l’hypersignal oriente le diagnostic.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Cardiovasculaire, Cœur, Myocarde
Vol 88 - N° 10
P. 1271 - octobre 2007 Retour au numéro
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