Analogs and fibrosis regression in hepatitis B - 30/10/09
Summary |
Nucleoside or nucleotide analogs (NUCs) are a major step forward in the treatment of hepatitis B virus (HBV) infection. Apart from their proven antiviral efficacy, these drugs have proved able to significantly improve liver fibrosis as short-term treatment. Using different definitions of fibrosis regression, after 1year of treatment, improvement in liver fibrosis was observed among HBe antigen (HBeAg)-positive naive patients: 35–61% with lamivudine; 41% with adefovir; 68% with telbivudine; 39% with entecavir; and 74% with tenofovir. Among HBeAg-negative patients, after 1year of treatment, improvement in liver fibrosis was seen in: 36–46% with lamivudine; 48% with adefovir; 56% with telbivudine; 36% with entecavir; and 71% with tenofovir. Long-term treatment is often required with NUCs; the response continue to improve over time, reaching up to 63% of patients with lamivudine and 71% of patients with adefovir, although the development of antiviral drug resistance can blunt any histological improvement. Also, there is now growing evidence that non-invasive methods of fibrosis diagnosis, such as surrogate markers, are likely to become as important as liver biopsy for taking the initial decision to biopsy and for treatment, and in the follow-up of treated chronic HBV patients.
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Les analogues nucléosidiques ou nucléotidiques sont un progrès majeur dans le traitement des hépatites chroniques B. En dehors de leur efficacité antivirale prouvée, ces molécules ont montré une amélioration significative de la fibrose chez les patients traités. En utilisant des définitions différentes de régression de la fibrose, un traitement d’un an entraîne une amélioration de la fibrose chez les patients antigène HBe positif naïfs de traitement chez 35 à 61 % des patients traités par lamivudine, 41 % des patients traités par adéfovir, 68 % des patients traités par telbivudine, 39 % des patients traités par entécavir et 74 % des patients traités par ténofovir. Chez les patients antigène HBe négatif, à un an, une régression de la fibrose est observée chez 36 à 46 % des patients traités par lamivudine, 48 % des patients traités par adéfovir, 56 % des patients traités par telbivudine, 36 % des patients traités par entecavir et 71 % des patients traités par ténofovir. Un traitement prolongé est très souvent nécessaire avec les analogues et l’amélioration de la fibrose se poursuit avec le temps atteignant 63 % des patients traités par lamivudine et 71 % des patients traités par adéfovir. Cependant, la survenue de mutations de résistance réduit l’amélioration histologique. Il existe de plus en plus de données suggérant que les marqueurs non invasifs de fibrose ont une place importante à la fois pour l’évaluation préthérapeutique de la fibrose, mais aussi dans le suivi des patients traités.
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Vol 33 - N° 10-11
P. 923-929 - octobre 2009 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.