Comparative analysis of neointimal coverage with paclitaxel and zotarolimus drug-eluting stents, using optical coherence tomography 6 months after implantation - 28/09/09
Summary |
Background |
Intrastent thrombosis, while rare, has a poor prognosis. Strut non-coverage is one causal factor, especially in cases of resistance to or premature discontinuation of dual antiplatelet therapy.
Aim |
To compare neointimal coverage with paclitaxel and zotarolimus drug-eluting stents, using optical coherence tomography (OCT).
Methods |
Twenty-two drug-eluting stents (11 paclitaxel-eluting stents and 11 zotarolimus-eluting stents) were examined by OCT, 6 months after implantation. Mean neointimal strut-coverage thickness and percentage neointimal hyperplasia were measured every millimetre. On each OCT image, struts were classified into one of four categories: well-apposed to vessel wall with apparent neointimal coverage; well-apposed to vessel wall without neointimal coverage; malapposed to the vessel wall; or located on a major side branch.
Results |
OCT analysis showed a lower percentage of neointimal hyperplasia with paclitaxel-eluting stents than with zotarolimus-eluting stents (17% vs 38% and mean thickness 154μm vs 333μm, respectively; p<0.0001). The rate of strut-coverage was greater with zotarolimus-eluting stents than with paclitaxel-eluting stents (99.1% vs 87.1%, respectively; p<0.0001). A non-covered/covered strut ratio greater than 0.3 was observed in 0.5% of zotarolimus-eluting stent OCT images compared with 18% of paclitaxel-eluting stent OCT images (p<0.0001).
Conclusion |
Six months after implantation, neointimal hyperplasia was greater with zotarolimus-eluting stents compared with paclitaxel-eluting stents. Conversely, neointimal strut-coverage was better with zotarolimus-eluting stents.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Contexte |
La thrombose de stent reste un évènement rare mais de mauvais prognostic. Un des facteurs est l’absence de réendothélialisation des stents, notamment en présence de résistance ou d’arrêt prématuré du traitement antiagrégant plaquettaire.
Objectif |
Comparer l’hyperplasie néointimale à six mois de stents actifs au paclitaxel et au zotarolimus en imagerie par cohérence optique.
Méthode |
Vingt-deux stents actifs ont été analysé en imagerie par cohérence optique : 11 au paclitaxel et 11 au zotarolimus six mois après leur implantation. L’épaisseur moyenne de la néo-intima est mesurée tous les millimètre ainsi que le pourcentage d’hyperplasie néointimale. Chaque maille est qualifiée de couverte, non couverte, malapposée ou en regard de collatérale.
Résultats |
L’analyse OCT retrouve un pourcentage d’hyperplasie néo-intimale moindre dans le groupe paclitaxel : 15 % versus 38 % avec une épaisseur moyenne de 154μm versus 333μm, respectivement; p<0,0001. Les mailles sont plus souvent couvertes dans le groupe zotarolimus (99,1 % vs 87,1 %, p<0,0001). Un ratio nombre de mailles non couvertes/couvertes supérieur à 0,3 est retrouvé sur 0,5 % des coupes de stents au zotarolimus (un des 11 stents) vs 18 % dans le groupe paclitaxel (sept des 11 stents) (p<0,0001).
Conclusion |
La prolifération néo-intimale est plus importante après implantation d’un stent au zotarolimus qu’avec les stents au paclitaxel. Elle s’accompagne à six mois d’une meilleure couverture des mailles observée en tomographie par cohérence optique.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Drug-eluting stent, Neointimal coverage, Paclitaxel, Zotarolimus
Mots clés : Paclitaxel, Réendothélialisation, Stents actifs, Tomographie par cohérence optique, Zotarolimus
Abbreviations : DES, LA, OCT, PES, SA, ZES
Plan
Vol 102 - N° 8-9
P. 617-624 - août 2009 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.