Traumatismes crâniens - 27/08/09
pages | 6 |
Iconographies | 4 |
Vidéos | 0 |
Autres | 1 |
Résumé |
Si leur fréquence et leur sévérité ont pu - et peuvent encore - être réduites par une politique de prévention, particulièrement dans le domaine routier (prévention et répression des comportements à risque [vitesse, alcool, téléphone portable], équipements de sécurité des véhicules et amélioration des infrastructures routières), les traumatismes crâniens graves restent responsables d'une mortalité importante et d'une morbidité lourde, en dépit des progrès réalisés par les différents acteurs de leur prise en charge, depuis le lieu de l'accident jusqu'à leur admission dans un centre de réadaptation spécialisée. Par ailleurs, certains patients victimes d'un traumatisme crânien initialement considéré comme bénin sont susceptibles de s'aggraver secondairement et de développer des complications intracrâniennes responsables de leur décès ou de séquelles lourdes. Cette morbidité et cette mortalité évitables rendent nécessaire la plus grande rigueur dans le bilan initial et la surveillance de ces patients. Enfin, la possibilité de complications tardives (hématome sous-dural chronique, hydrocéphalie, complications infectieuses en cas de brèche ostéodurale non diagnostiquée), même après des traumatismes modérés, ne doit pas être méconnue.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Traumatisme crânien modéré, Hématome extradural, Hématome sous-dural, Polytraumatisme, Neurochirurgie
Plan
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’achat d’article à l’unité est indisponible à l’heure actuelle.
Déjà abonné à ce traité ?