Connaître les éléments sémiologiques indispensables pour interpréter une IRM du foie.

Savoir reconnaître les principaux artéfacts.

Apprendre à reconnaître les images sémiologiques pièges.

L’interprétation d’une IRM hépatique repose sur la reconnaissance, l’analyse et la synthèse d’éléments sémiologiques simples. Mais il faut savoir reconnaître les principaux artéfacts qui, pour certains, sont communs à l’ensemble des séquences et pour d’autres sont spécifiques à une séquence particulière (séquence en opposition de phase, séquence HASTE, séquence dynamique…). De plus, la richesse sémiologique propre à l’IRM est également à l’origine d’images sémiologiques pièges qu’il faut apprendre à connaître.

La qualité de l’interprétation d’une IRM hépatique repose sur la connaissance, l’analyse et la synthèse d’éléments sémiologiques simples : lésion homogène ou hétérogène, bien ou mal limitée, rehaussée ou non rehaussée… Mais l’IRM est également caractérisée par la fréquence d’artéfacts qu’il faut savoir reconnaître, comme les artéfacts liés à la lecture limitée d’un hémiplan de Fourier, l’intervention du temps d’écho sur les séquences en phase et en opposition de phase, les variations temporelles caractéristiques aux examens dynamiques, les artéfacts de flux… Parallèlement, il faut apprendre à connaître les pièges auxquels expose l’analyse des images. A ces conditions, l’IRM hépatique devient une technique d’une grande richesse sémiologique.