Selectionner les images radiologiques : pourquoi ? Dans quelles proportions ? - 04/06/09
Résumé |
Objectifs |
Connaître le volume respectif, au sens informatique, des examens d’imagerie.
Apprécier la pertinence : absolue, relative ou non signifiante, sur le plan clinique, des images produites par le radiologue.
Appréhender les contraintes liées à la communication et à l’archivage des données d’imagerie.
Maîtriser les solutions à mettre en œuvre pour faciliter le travail du clinicien et diminuer les flux.
Points clés |
La quantité d’informations produites par les modalités d’imagerie est considérable.
Dans cette masse d’informations, il faut distinguer « le bruit », non signifiant, et le « signal » représentant l’information pertinente.
Le clinicien n’a pas nécessairement besoin de l’exhaustivité des informations produites.
Résumé |
Les radiologues depuis un demi-siècle produisent de très nombreuses images. La sélection des données pertinentes, effectuée depuis longtemps en angiographie et en échographie, est plus difficile à appliquer en imagerie TDM ou IRM. Cette sélection a deux objectifs principaux : faciliter le dialogue avec le clinicien, optimiser l’utilisation des moyens de communication et d’archivage du PACS. L’utilisation de la sélection d’images est une fonctionnalité prévue par DICOM (Key Object Selection) et IHE (Key Image Note). Elle permet de rendre signifiantes des images démonstratives. Le volume moyen par examen est variable et doit faire l’objet de règles permettant une utilisation au quotidien.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Traitement d’images, Technique, Archivage
Vol 89 - N° 10
P. 1351 - octobre 2008 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.