Brain and spine MRI artifacts at 3 Tesla - 05/05/09
Summary |
Introduction |
We illustrate here the most common MRI artifacts found on routine 3T clinical neuroradiology that can simulate pathology and interfere with diagnosis.
Materials and methods |
Our group has worked with a 3-T Magnetom Trio (Siemens, Erlangen, Germany) system for two years, with 50% of our time devoted to clinical work and 50% dedicated to research; 65% of the clinical time is dedicated to neuroradiology (2705 patients) and the remaining time to whole-body MRI. We have detected these artifacts during our case readings and have selected the most representative of each type to illustrate here.
Results |
We have observed magnetic susceptibility artifacts (29%), pulsation artifacts (57%), homogeneity artifacts (3%), motion artifacts (6%), truncation artifacts (3%) and, finally, artifacts due to poor or inadequate technique in the examined region.
Conclusion |
High-field imaging offers the benefit of a higher signal-to-noise ratio, thus making possible the options of a higher imaging matrix, thinner slices, the use of spectroscopy and diffusion tensor imaging in the routine clinical neuroradiology with a reduction in time spent. It is vital to be able to recognize these artifacts in everyday practice as they can mimic pathological appearances, thus causing diagnostic errors that could lead to unnecessary treatment. Indeed, most of these artifacts could be avoided with an adequate technique.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Introduction |
Nous illustrons les artéfacts les plus fréquents en IRM à 3T que nous avons rencontrés en pratique quotidienne et qui peuvent simuler une pathologie et donc interférer avec le diagnostic.
Matériel et méthodes |
Notre groupe travaille sur un système 3T Siemens depuis deux ans, avec une activité clinique représentant 50 % du temps machine et 50 % du temps restant dédié à la recherche fondamentale ; 65 % du temps d’activité clinique est dédié à la neuroradiologie (2705 patients au total) et le reste dédié à une activité corps entier. Nous avons identifié ces artéfacts pendant nos lectures et montrons les plus représentatifs.
Résultats |
Nous illustrons chaque type ainsi que les pathologies qu’ils peuvent simuler. Nous avons observé des artéfacts de susceptibilité magnétique (29 %), artéfacts de pulsation (57 %), artéfacts d’homogénéité (3 %) artéfacts de troncature (3 %), artéfacts de mouvement (6 %) et finalement des artéfacts liés à un mauvais choix de technique d’examen pour la région anatomique explorée.
Conclusion |
L’imagerie à champ élevé offre l’avantage d’un rapport signal sur bruit élevé, rendant ainsi possible l’acquisition avec une matrice plus élevée, des coupes plus fines, ainsi que l’utilisation en routine clinique de la spectroscopie et de l’imagerie du tenseur de diffusion. Pour la pratique quotidienne, il est indispensable d’apprendre à reconnaître ces artéfacts car la plupart peuvent être évités. En plus, ils peuvent simuler une pathologie et ainsi induire des erreurs diagnostiques et en conséquence un traitement inapproprié.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Artifacts, 3Tesla, Brain, Spine, Magnetic resonance imaging
Mots clés : Artéfacts, 3Tesla, Cerveau, Rachis, Imagerie par résonance magnétique
Plan
Vol 36 - N° 2
P. 74-81 - mai 2009 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.