Infection par le virus de l’immunodéfience humaine et réanimation - 30/04/09
Dès le début de la pandémie, au début des années 1980, les services de réanimation ont pris en charge les malades infectés par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) et en détresse vitale. En l’absence de traitement anti-rétroviral (ARV) le pronostic à court terme de la maladie était effroyable et le taux de décès en réanimation dépassait 80 %. De nombreuses discussions éthiques avaient lieu concernant les indications de l’admission en réanimation et la limitation ou l’arrêt des soins. L’arrivée des médicaments actifs, d’abord la zidovudine (AZT) en 1987, puis en 1996 la généralisation des trithérapies avec inhibiteurs de protéases, a radicalement transformé le pronostic de la maladie et donc la problématique de la prise en charge en réanimation.
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