Mise au point en endocrinologie hypophysaire - 02/04/09


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Résumé |
Des avancées dans les domaines de la physiologie, du développement et de la tumorigenèse hypophysaires ont fait progresser en particulier la connaissance de la pulsatilité hormonale (par l'identification de réseaux cellulaires) et de la physiopathologie des déficits hypophysaires congénitaux ou des adénomes hypophysaires. La découverte de l'implication du gène aryl hydrocarbon receptor interacting protein (AIP) dans des formes familiales de ces tumeurs ouvre ainsi la voie à de nouveaux progrès de l'endocrinologie moléculaire. Les stratégies thérapeutiques évoluent en particulier dans l'acromégalie, avec une place croissante du traitement médical en préopératoire et la possibilité d'utiliser un antagoniste de l'hormone de croissance. Si les difficultés diagnostiques restent grandes dans la maladie de Cushing, la confirmation récente d'un taux élevé de récidive postopératoire souligne la nécessité des approches thérapeutiques complémentaires telles que la radiochirurgie ou les traitements médicaux. La prise en charge des déficits hypophysaires prend davantage en compte les conséquences endocriniennes des traumatismes crâniens et pourra bénéficier de progrès dans la galénique des traitements substitutifs, notamment surrénaliens.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Adénomes hypophysaires, Hypopituitarisme, Hormone de croissance, Acromégalie, Maladie de Cushing, Hyperprolactinémie
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