Remarks on the Permian dasycladalean alga Sinoporella leei Yabe, 1949 - 30/03/09

Doi : 10.1016/j.geobios.2008.10.004 
Ioan I. Bucur a, , Axel Munnecke b , Bruno Granier c, Jiaxin Yan d
a Department of Geology, Babes-Bolyai University, Str. M. Koalniceanu nr 1, 400084 Cluj-Napoca, Romania 
b GeoZentrum Nordbayern, Fachgruppe Paläoumwelt, Universität Erlangen-Nürnberg, Loewenichstrasse 28, 91054 Erlangen, Germany 
c Département des sciences de la terre et de l’univers, UFR sciences et techniques, université de Bretagne-Occidentale, 6, avenue Le Gorgeu, CS 93837, 29238 Brest cedex 3, France 
d Key laboratory of Biogeology and Environmental Geology, Ministry of Education, China University of Geosciences, 430074 Wuhan, China 

Corresponding author.

Abstract

Sinoporella leei was first described and illustrated by Yabe in 1949 as a new species and was ascribed to a new subgenus of the genus Triploporella (Steinmann). This alga was not illustrated again until Mu published 25-years later a photomicrograph of a longitudinal-tangential section. The recent finding of new specimens in Permian strata of the Guangxi region (South China) allows us to better illustrate this alga, and to improve our understanding of its morphology to the extent that we find it necessary to emend the current diagnosis. The new observations focus mainly on the morphology of the second-order laterals, on their relationship to the first-order laterals, and the connection of the first-order laterals to the main stem. These data suggest that Sinoporella represents a self-standing, discrete genus that differs from Triploporella. We also consider the lack of cystophores (cyst containers sensu De Castro) and the possible occurrence of individual cysts in the first order laterals as characteristics that do not accord with Barttolo’s emended diagnosis of Triploporella.

Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

Résumé

En 1949, Yabe décrit Sinoporella leei, une nouvelle espèce chinoise pour laquelle il introduit également un nouveau sous-genre du genre Triploporella (Steinmann). À l’exception d’une section longitudinale tangentielle illustrée par Mu 25 ans après, aucun nouveau spécimen de cette algue ne sera figuré avant sa redécouverte récente. Ces nouveaux spécimens récoltés dans des couches permiennes de la région du Guangxi (Chine du Sud) nous ont permis d’enrichir l’iconographie existante et d’améliorer significativement notre compréhension de la structure de cette algue, de sorte que nous avons été amenés à proposer une émendation de la diagnose originale. Les données nouvelles portent en particulier sur la morphologie du second ordre de latérales, sur sa relation avec le premier ordre de latérales, et sur la connexion des latérales avec l’axe principal. Ces observations suggèrent que Sinoporella représente un genre à part entière, genre qui doit être distingué de Triploporella. En outre, l’agencement des cystes au sein du premier ordre de latérales, c’est-à-dire la présence probable de cystes individualisés et l’absence corrélative d’agrégats pluricystiques (« cyst containers » sensu De Castro), est une autre caractéristique qui le différencie du genre Triploporella dans son acception actuelle, c’est-à-dire suivant la diagnose émendée par Barattolo.

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Keywords : Dasycladales, Triploporellaceae, Systematics, Permian, China

Mots clés : Dasycladales, Triploporellaceae, Systématique, Permien, Chine


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 Corresponding editor: Marc Philippe.


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Vol 42 - N° 2

P. 221-231 - mars 2009 Retour au numéro
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