Gregoryceras in the Oxfordian of Kachchh (India): Diverse eventful implications - 30/03/09
Abstract |
The Kachchh Oxfordian ammonoid stratigraphic record for over 150 years remained restricted largely to Early Oxfordian condensed oolitic facies in the relatively distal Mainland Kachchh. Recently, it has been enlarged with the discovery in 1994 of over 200m-thick uncondensed Middle to Late Oxfordian succession at Kantkote in the proximal part of the basin. Apart from abundant Perisphinctinae and Mayaitinae, a 10m-thick sediment interval in the lower half of the above succession yielded a few examples of Gregoryceras. The specimens are here identified as G. gr. devauxi Bert and Enay and in view of their association with Larcheria subschilli (Lee) are assigned to the Middle Oxfordian Subschilli Horizon of the Schilli Subzone. Gregoryceras distribution south of the equator in Kachchh, Chile, Mexico and Madagascar, all within 35–40° latitude marks the southern limit of its latitudinal expansion during the first order maximum flooding surface (MFS) of the Schilli Subzone of the Kachchh Toarcian–Hauterivian Sequence. The maximum ammonoid diversity, density and frequency of the Kachchh first order sequence coupled with dominance of mayaitins and perisphinctins suggest over 20m depth in the Gregoryceras interval. Distinctly greater bathymetry in the 200km distally away basinal part causes sediment starved situation, and explains the Middle Oxfordian to early Early Kimmeridgian submarine nondepositional hiatus in the Mainland Kachchh.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Depuis plus de 150 ans, le registre fossile associé aux ammonoïdes oxfordiennes de Kachchh s’est limité aux faciès oolithiques condensés de l’Oxfordien inférieur, rencontrés dans la partie distale du plateau continental. Il a été récemment augmenté, avec la découverte en 1994, dans la partie proximale du bassin, à Kantkote, d’une série non condensée d’âge oxfordien moyen à supérieur, de plus de 200m d’épaisseur. À côté d’abondants Perisphinctinae et Mayaitinae, un intervalle sédimentaire d’une puissance de 10 m situé dans la moitié inférieure de cette série a livré quelques exemplaires de Gregoryceras. Ces spécimens sont ici attribués à G. gr. devauxi Bert et Enay ; compte tenu de leur association avec Larcheria subschilli (Lee), ils sont rapportés à l’Horizon à Subschilli de la Sous-Zone à Schilli, Oxfordien moyen. La distribution australe des Gregoryceras, présents à Kachchh, au Chili, au Mexique et à Madagascar jusqu’à la latitude de 35°, souligne leur limite d’expansion vers le sud durant la surface d’ennoiement maximale (MFS) de premier ordre de la Sous-Zone à Schilli dans la séquence toarcienne–albienne de Kachchh. Le maximum de diversité en ammonoïde, la densité et la fréquence de la séquence de premier ordre de Kachchh, associés à la dominance des mayaitinés et des périsphinctinés, suggèrent une profondeur de dépôt supérieure à 20m pour l’intervalle à Gregoryceras. Une bathymétrie nettement plus profonde dans la partie distale du bassin, située à 200km de là, est à l’origine d’une situation de « famine sédimentaire » qui explique le hiatus de dépôt sous-marin observé à Kachchh depuis l’Oxfordien moyen jusqu’à la base du Kimméridgien inférieur.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Oxfordian, Ammonoid, Gregoryceras, Perisphinctinae, Tethys, India
Mots clés : Oxfordien, Ammonoïde, Gregoryceras, Perisphinctinae, Téthys, Inde
Plan
Corresponding editor: Pierre Hantzpergue. |
Vol 42 - N° 2
P. 197-208 - mars 2009 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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