Radiodiagnostic des parodontopathies - 01/01/94
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Résumé |
En 1958, Updegrave [19] a déclaré : " II existe à l'heure actuelle un manque d'empressement à s'investir dans l'interprétation radiographique et dans l'analyse des données anatomiques, physiologiques et pathologiques. " Les obstacles à l'interprétation radiographique sont dus soit " à des clichés de qualité insuffisante qui ne révèlent pas assez de détails, soit à des connaissances insuffisantes en matière de radiodiagnostic ".
Cette analyse déjà ancienne reste encore vraie aujourd'hui, d'autant plus qu'après une série de publications relativement optimistes sur l'apport de la radiographie dans les années 1950, sont venues s'imposer de nombreuses critiques sur les limites et les pièges de la radiographie dans le diagnostic.
L'essentiel de notre travail va porter sur l'interprétation des clichés en parodontologie et sur ses limites.
Nous avons en effet déjà traité des problèmes concernant les critères de qualité de l'image radio dans un article précédent [4] et nous nous contentons d'en rappeler quelques éléments.
En parodontologie, le radiodiagnostic est tributaire de mensurations et de l'évaluation de différents tissus ; il doit répondre à deux critères généraux de qualité qui sont l'absence de distorsion et la netteté.
Les conditions de réalisation et de traitement des clichés déterminent la qualité de l'image.
Plan
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