Notions élémentaires d'homéopathie à l'usage de l'odontologiste - 01/01/93
64, rue Saint-Denis, 92700 Colombes France
Résumé |
La première fois que nous avons ouvert un livre d'homéopathie, nous l'avons vite refermé tellement nous l'avons trouvé compliqué. Il semblait faire appel à une telle masse de connaissances, il semblait demander un tel travail à fournir que nous avons renoncé à aller plus loin avant de faire le moindre essai. Cette attitude, nous voulons l'éviter à nos successeurs. Pour ce faire, nous allons adopter la démarche de Taillor : diviser la difficulté en multiples parties et étudier chacune d'entre elles en partant de notions élémentaires très claires. Bien guidé, le chirurgien-dentiste peut acquérir progressivement cette technique médicale. Il peut aussi l'utiliser, dès le départ, dans son cabinet. Il n'est pas nécessaire de tout connaître pour pratiquer, de tout apprendre avant d'écrire la première ordonnance. Certains estiment qu'ayant dépensé de grands efforts pour l'étude de l'homéopathie, il n'est pas juste que ceux qui les suivent voient leur travail trop facilité, d'autres méprisent la facilité et n'accordent d'importance qu'à ce qui est difficile et compliqué. Ils ne peuvent imaginer une homéopathie simple et facile à utiliser. Ce n'est pas notre cas.
L'homéopathie est-elle une énorme masse de connaissance à acquérir ? Oui et non.
Oui : car celui qui veut apprendre toutes les connaissances homéopathiques et n'utiliser que cette technique dans les multiples problèmes médicaux aura beaucoup à faire.
Non : si l'homéopathe est chirurgien-dentiste, s'il veut se contenter des cas courants, s'il admet utiliser d'autres médecines de terrain et de se faire aider par le médecin dans certains cas particuliers.
Plan
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