Imagerie maxillofaciale. Radiologie conventionnelle analogique et numérique. Échographie - 01/01/96
Hôpital d'Instruction des Armées Bégin, Saint-Mandé 00498 Armées France
Résumé |
Malgré le développement de l'échographie, de la tomodensitométrie (TDM) et de l'imagerie par résonance magnétique (IRM), la radiographie conventionnelle reste un temps essentiel du diagnostic en pathologie maxillofaciale et en stomatologie.
La radiologie dite « analogique » utilise, depuis l'avènement des rayons X (RX), l'effet photographique et le film radiographique pour obtenir une image. Mais elle est concurrencée depuis quelques années, comme dans le domaine du son et de l'image, par les techniques de numérisation, grâce notamment aux progrès de l'informatique.
La radiologie numérique a trouvé ses premières applications dans les années 1970 en artériographie puis plus récemment en radiologie dentaire [12] et voit ses indications s'élargir. Il faut donc envisager les principes de la radiologie conventionnelle sous ses deux formes, analogique et numérique, avec leurs avantages et leurs inconvénients. Néanmoins, l'évolution vers le tout numérique semble inéluctable et nous sommes actuellement dans une période de transition où les salles de radiologie voient coexister le mode d'acquisition analogique et numérique que l'on peut choisir à volonté.
Nous décrirons les principes généraux de la formation de l'image radiologique en traitant en parallèle l'acquisition analogique et numérique puis les techniques spéciales qui trouvent des applications en stomatologie.
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