Allogreffes cutanées dans la chirurgie du grand brûlé - 07/11/08
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Aujourd'hui, la prise en charge des patients porteurs de brûlures profondes et étendues est difficilement envisageable sans le recours aux allogreffes cutanées d'origine humaine. Du prélèvement du donneur à la greffe du receveur, plusieurs étapes vont se succéder : la sélection du donneur et le recueil de sa « non-opposition » dans le cadre de la loi n° 2004-800 du 6 août 2004 relative à la bioéthique ; le prélèvement et la préparation par les Banques de tissus avec des répercussions sur la qualité ; l'indication opératoire posée par le chirurgien. L'application des règles de sécurité sanitaire ne permet pas d'exclure de façon formelle le risque de transmission de maladies ; pour cette raison, l'utilisation des AC se doit d'être réservée aux patients porteurs de brûlures graves qui engagent le pronostic vital. La technique chirurgicale la plus utilisée est la greffe composite dite greffe en sandwich d'Alexander, technique à la fois simple et efficace. Elle est également peu coûteuse au regard de tous les autres substituts cutanés biologiques. Enfin, n'oublions pas que, régulièrement, les équipes greffeuses sont confrontées à la pénurie d'AC par manque de prélèvements des donneurs potentiels.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Peau, Allogreffes cutanées, Brûlures, Prélèvement de peau, Cryopréservation, Excision, Greffe, Greffe en sandwich, Sécurité sanitaire
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