Expérience de la MeaH dans la réduction des temps de passage aux urgences - 24/06/08
Maxime Cauterman [1],
Pierre-Etienne Haas [2],
Dominique Talandier [2],
David Le Spégagne [3],
Stephan Graesslin [4],
Bruno Happeday [5]
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L’allongement du temps de passage aux urgences est un facteur d’insatisfaction des patients et des professionnels. Il fait courir un risque de non-qualité des soins et de recrudescence des actes violents. Ce phénomène est la résultante d’éléments divers comme l’augmentation et la modification de l’activité, les difficultés d’accès aux lits d’aval… S’il est difficile, bien que souhaitable, d’agir sur l’amont (permanence des soins) et sur l’aval (admission en hospitalisation), l’organisation interne des urgences offre des opportunités d’amélioration et des possibilités d’une meilleure maîtrise des temps de passage. Ces dernières ont l’avantage d’être pour la plupart “entre les mains” des équipes. Elles reposent tant sur un souci du détail de l’organisation de chacune des étapes que sur des innovations en termes de pilotage et de coordination générale du service, fondées notamment sur le concept de gestion des flux.
Mots clés :
Équipe soignante
,
Gestion des flux
,
Hôpital
,
Infirmière organisatrice de l’accueil (IOA)
,
Organisation
,
Qualité
,
Temps de passage
,
Urgences
Plan
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Vol 17 - N° 66
P. 23-26 - mai 2008 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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