Antiparasitaires externes chez les carnivores domestiques - 23/06/08
pages | 12 |
Iconographies | 8 |
Vidéos | 0 |
Autres | 0 |
Résumé |
Les antiparasitaires externes employés chez les carnivores domestiques ont évolué ces dernières années non seulement sur le plan des molécules mais aussi en ce qui concerne les formulations galéniques et la pharmacocinétique. Les anciens groupes chimiques au premier rang desquels les organophosphorés et les pyréthrinoïdes ont été supplantés par les phénylpyrazolés (fipronil) ou les néonicotinoïdes (imidacloprid). Outre les insecticides-acaricides proprement dits, les inhibiteurs de croissance des insectes et des acariens sont apparus. Ils sont représentés soit par les analogues de l'hormone juvénile (pyriproxyfène, (S)-méthoprène) soit par les inhibiteurs de la synthèse de chitine (lufénuron). Ces « IGR » (insect growth regulator) sont utilisés sur l'animal ou dans l'environnement, seuls ou en association avec des insecticides-acaricides. La notion de traitements antiparasitaires a évolué vers la notion de prévention grâce à l'apparition de formulations ayant une persistance d'activité. Parallèlement, la facilité d'utilisation a été améliorée par le développement des solutions cutanées pour dépôt ou spot on. Les vétérinaires, comme les propriétaires, disposent aujourd'hui d'une diversité de choix avec des formulations qui ont gagné en efficacité, en durée d'activité, mais aussi en tolérance et en absence de toxicité. La combinaison des insecticides et des IGR permet aujourd'hui d'envisager la mise en place de plans de lutte intégrée, notamment contre les puces.
Mots-clés : Insecticide, Acaricide, Rémanence d'activité, Innovation
Plan
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’achat d’article à l’unité est indisponible à l’heure actuelle.
Déjà abonné à ce traité ?