Hyperthyroïdie féline - 23/06/08
Unité pédagogique de médecine, Ecole Nationale Vétérinaire d'Alfort, 7, avenue du Général de Gaulle, 94704 Maisons-Alfort France
Centre de cancérologie vétérinaire, 7, avenue du Général de Gaulle, 94700 Maisons-Alfort France
Centre de cancérologie vétérinaire, 7, avenue du Général de Gaulle, 94700 Maisons-Alfort France
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Résumé |
Autrefois extrêmement rare, l'hyperthyroïdie constitue désormais l'une des principales dysendocrinies félines, touchant préférentiellement les individus âgés. Son diagnostic s'effectue en confrontant des signes cliniques souvent caricaturaux (goitre, amaigrissement, hyperactivité...) aux résultats d'explorations fonctionnelles de l'axe thyréotrope (thyroxinémie, freination de la thyroxinémie par la triiodothyronine...). La mise en évidence de complications de l'hyperthyroïdie (cardiovasculaires en particulier) et le dénombrement du ou des nodules sécrétants font également partie de la démarche diagnostique. Le traitement est basé dans un premier temps sur l'emploi d'antithyroïdiens oraux (carbimazole). Une fois l'animal stabilisé (euthyroïdie atteinte, complications gérées, état général amélioré...), le maintien de l'euthyroïdie peut s'effectuer grâce à différents traitements (traitement médical par carbimazole, traitement chirurgical, radiothérapie métabolique). Le choix entre ces différents traitement s'effectue au cas par cas en fonction de nombreux paramètres (coût, disponibilité, nombre de nodules sécrétants...).
Mots-clés : hyperthyroïdie, chat, scintigraphie, carbimazole, thyroïdectomie, radiothérapie métabolique
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