The impact of two distinct warm-up techniques on fat and carbohydrate oxidation rates during an exhaustive incremental exercise in football players with training experience - 15/04/25
Effets de deux techniques distinctes d'échauffement sur les taux d’oxydation des graisses et des glucides lors d’un exercice incrémental exhaustif chez des joueurs de football entraînés

Summary |
Aims |
Enhancing athletes’ performance through the utilization of energy resources constitutes a paramount objective for sports coaches. This study investigates how warm-up intensities affect fat and carbohydrate oxidation in trained football players.
Methods |
Ten young, healthy males volunteered for this study. The subjects had practiced football for two years, and the age, height, and body mass of the participant was 21±2 (mean±SD) yr, 178±0.04cm, and 68.80±8.18kg, respectively. Two warm-up programs at 50% and 70% of the maximal heart rate were conducted 72hours apart, followed by progressive physical activity until exhaustion. This study assessed heart rate, oxygen uptake, and carbon dioxide output during each incremental physical activity test. The respiratory exchange ratio was also calculated. A two-way (2×9) repeated measures analysis of variance (ANOVA) was used to assess the amount of fat oxidation and other parameters in two forms of physical activity and examine how exercise intensity affects it. The remaining variables from both sessions were analyzed using the paired sample t-test. Fat, carbohydrate, and energy expenditure were calculated.
Results |
The findings indicate that the intensity of warm-up exercises has no statistically significant impact on the oxidation rate of lipids and carbohydrates, heart rate, or respiratory exchange ratio of trained football players during incremental physical activity (P<0.05). High-intensity incremental physical activity significantly increased energy expenditure.
Conclusion |
This study implies that football players and athletes in sports with similar energy systems warm up less intensely before competitions to maximize energy resources and minimize wasting energy resources.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Objectifs |
Améliorer les performances des athlètes grâce à l’utilisation des ressources énergétiques constitue un objectif primordial pour les coachs sportifs. Cette étude examine comment les intensités d’échauffement affectent l’oxydation des graisses et des glucides chez les joueurs de football entraînés.
Méthodes |
Dix jeunes hommes en bonne santé se sont portés volontaires pour cette étude. Les sujets pratiquaient le football depuis deux ans et l’âge, la taille et la masse corporelle du participant étaient respectivement de 21±2 (moyenne±écart-type), 178±0,04cm et 68,80±8,18kg. Deux programmes d’échauffement à 50 % et 70 % de la fréquence cardiaque maximale ont été réalisés à 72h d’intervalle, suivis d’une activité physique progressive jusqu’à épuisement. Cette étude a évalué la fréquence cardiaque, la consommation d’oxygène et la production de dioxyde de carbone au cours de chaque test d’activité physique supplémentaire. Le taux d’échange respiratoire a également été calculé. Une analyse de variance (Anova) à mesures répétées bidirectionnelle (2×9) a été utilisée pour évaluer la quantité d’oxydation des graisses et d’autres paramètres dans deux formes d’activité physique et examiner comment l’intensité de l’exercice l’affecte. Les variables restantes des deux sessions ont été analysées à l’aide du test t pour échantillons appariés. Les dépenses en graisses, en glucides et en énergie ont été calculées.
Résultats |
Les résultats indiquent que l’intensité des exercices d’échauffement n’a pas d’impact statistiquement significatif sur le taux d’oxydation des lipides et des glucides, la fréquence cardiaque ou le taux d’échange respiratoire des joueurs de football entraînés au cours d’une activité physique progressive (p<0,05). Une activité physique supplémentaire de haute intensité augmente considérablement la dépense énergétique.
Conclusion |
Cette étude implique que les joueurs de football et les athlètes pratiquant des sports dotés de systèmes énergétiques similaires s’échauffent moins intensément avant les compétitions afin de maximiser les ressources énergétiques et de minimiser leur gaspillage.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Maximal oxygen uptake, Maximal carbon dioxide output, Physical activity
Mots clés : Consommation maximale d’oxygène, Production maximale de dioxyde de carbone, Activité physique
Plan
Vol 40 - N° 3
P. 248-255 - mai 2025 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Déjà abonné à cette revue ?