Doit-on être généreux de son propre corps ? - 19/06/08
Ludovic Hardy
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Depuis cet été, la politique des prélèvements et greffes d’organes ou de tissus devient une priorité nationale. La pratique des prélèvements d’organes sur une personne vivante ou décédée est encadrée par les lois dites de « bioéthique » révisées le 6 août 2004. Les débats éthiques concernant cette pratique sont entrés bien avant dans le champ d’une réflexion interdisciplinaire, d’une réflexion bioéthique. La politique actuelle encourage les donneurs par appel à des valeurs éthiques de solidarité ou d’altruisme face à la pénurie de don d’organes et face à la résistance du sujet pensant à son identité corporelle, mais quel sens donner à cette pratique médicale ?
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Vol 2005 - N° 0018
P. 32-36 - août 2003 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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